Collection « Petite philosophie du voyage »

  • Défis de la course (Les)
  • Écho des bistrots (L’)
  • Quête du naturaliste (La)
  • Instinct de la glisse (L’)
  • Vertiges de la forêt (Les)
  • Voyage en famille (Le)
  • Tao du vélo (Le)
  • Parfum des îles (Le)
  • Appel de la route (L’)
  • Bonheurs de l’aquarelle (Les)
  • Euphorie des cimes (L’)
  • Malices du fil (Les)
  • Ivresse de la marche (L’)
  • Force du silence (La)
  • Secret des pierres (Le)
  • Frénésie du windsurf (La)
  • Prouesses de l’apnée (Les)
  • Vie en cabane (La)
  • Fureur de survivre (La)
  • Art de la trace (L’)
  • Voyage dans l’espace (Le)
  • Ronde des phares (La)
  • Frisson de la moto (Le)
  • Légèreté du parapente (La)
  • Poésie du rail (La)
  • Hymne aux oiseaux (L’)
  • L’Engagement humanitaire
  • Grâce de l’escalade (La)
  • Temps du voyage (Le)
  • Vertu des steppes (La)
  • Facéties du stop (Les)
  • Cantique de l’ours (Le)
  • Esprit du geste (L’)
  • Écriture de l’ailleurs (L’)
  • Rythme de l’âne (Le)
  • Chant des voiles (Le)
  • Liberté du centaure (La)
  • Tour du monde (Le)
  • Fièvre des volcans (La)
  • Extase du plongeur (L’)
  • Tentation du jardin (La)
  • Vie à la campagne (La)
  • Murmure des dunes (Le)
  • Goût de la politesse (Le)
  • Caresse de l’onde (La)
  • Magie des grimoires (La)
  • Audaces du tango (Les)
  • Simplicité du kayak (La)
  • Voyage immobile (Le)
  • Attrait des gouffres (L’)
  • Soif d’images (La)
  • Mémoire de la Terre (La)
  • Enchantement de la rivière (L’)
  • Prodige de l’amitié (Le)
  • Promesse de l’envol (La)
  • Mystères du vin (Les)
  • Religion du jazz (La)
  • Charme des musées (Le)
  • Triomphe du saltimbanque (Le)
  • Sortilèges de l’opéra (Les)
  • Âme de la chanson (L’)
  • Sérénité de l’éveil (La)
  • Arcanes du métro (Les)
Couverture
Un autre temps des cerises :

« Loin de la rhétorique de la chanson française, Sakura Sakura s’ancre dans l’expérience sensorielle : pas d’histoire, pas de monologue argumentatif, mais deux couplets de sept vers chacun, qui expriment les impressions que suscitent l’arrivée du printemps et la transformation qu’elle imprime au paysage. Que les mots n’aient pas la même valeur symbolique se voit particulièrement bien si l’on compare cette chanson avec l’un des plus célèbres airs du patrimoine français, Le Temps des cerises. Chez nous, le fruit n’est pas, comme au Japon, l’occasion de célébrer la beauté de la nature, mais prétexte à effusion sentimentale et allusion politique à la Commune de Paris, pourtant postérieure à l’écriture de la chanson par Jean-Baptiste Clément, mais qui y est associée en raison de la sympathie de son auteur pour son mouvement et de l’interprétation symbolique possible des paroles, qui peuvent évoquer la “semaine sanglante” de mai 1871, époque de floraison des cerisiers… Dans la chanson française, le temps des cerises, c’est celui du printemps, de la jeunesse, mais aussi celui de l’amour sans condition. Le jus de la cerise n’évoque pas le sang du samouraï intrépide, mais celui d’un amoureux dont la blessure est incurable. Autre culture, autre imaginaire. »
(p. 70-73)

Ça danse à la Mouffe (p. 34-38)
Au Lapin agile (p. 64-67)
Un vaste patrimoine (p. 78-81)
© Transboréal : tous droits réservés, 2006-2024. Mentions légales.
Ce site, constamment enrichi par Émeric Fisset, développé par Pierre-Marie Aubertel,
a bénéficié du concours du Centre national du livre et du ministère de la Culture et de la Communication.