
L’Amour des livres n° 154, avril 2020 :
« C’est dans un kayak biplace que Kim Hafez, accompagné de son chien Unghalak, se met à pagayer pour rejoindre le cap Nord, via la Finlande. Ermitage, ascèse et contemplation ceinturent une aventure hors norme et passionnément solitaire. D’archipels en fjords, leur périple en mer de Norvège les amène jusqu’aux côtes du Groenland, puis dans l’Arctique canadien. Une traversée inspirante, où la liberté enivre. »
Thierry Maricourt, http://maricourt-nordique.e-monsite.com, le 27 octobre 2016 :
« Parcours étonnant que celui de Kim Hafez qui a suivi des études d’ingénieur avant d’être officier du génie dans la Légion étrangère, puis de se lancer dans des voyages à travers le monde. Dans Nomade du Grand Nord (récit publié initialement en 2006), il relate celui qu’il effectue avec son chien Unghalak dans un kayak biplace au nord de l’Europe, après une traversée du Canada. Départ : Paris ; arrivée : The Pas, au Canada, à l’ouest de la baie d’Hudson ; avec une traversée de la Suède, de la Finlande et de la Norvège. Victime d’un accident de ski, Kim Hafez a souffert d’une grave maladie durant son enfance et a choisi, à l’issue de ses études, de rejoindre la Légion. “Outre un sens profond de l’honneur, j’y découvris un esprit de corps très marqué. La camaraderie, la fraternité et les traditions soudaient l’ensemble de notre régiment.” Si cela mène au goût de la nature, de la nature sauvage, plutôt qu’aux beuveries émaillées de propos machistes et racistes, remballons vite nos réserves d’antimilitariste, nous qui aurions plutôt fait confiance à un René Dumont pour nous guider dans les étendues sauvages, nordiques ou autres. Toujours est-il que Kim Hafez a quitté la Légion pour prendre la route, qu’il s’implique dans son voyage et sait, contant mille anecdotes, nous entraîner avec lui. “J’ai commencé à randonner en milieu sauvage à l’âge de 18 ans. J’étais émerveillé d’apprendre qu’avec une carte topographique et une boussole on pouvait explorer tous les recoins de la Terre, des plus beaux aux plus lointains. [?] Quant au Nord, j’y vins instinctivement, comme aimanté par un champ invisible, et j’y trouvai une autre manière de vivre.” »
T. Zangerlé, www.amazon.fr, le 29 janvier 2013 :
« J’ai préféré le premier, Unghalak, mais celui-ci mérite cinq étoiles également, ne serait-ce que pour le personnage. Si vous aimez le voyage, l’aventure, la nature : dépaysement garanti ! N’hésitez pas ! »
Olivier Nobili, Carnets d’aventures n° 4 de mai-juillet 2006 :
« Voici donc le dernier Kim Hafez que nous attendions avec impatience et que nous avons dévoré. Le positionnement de Kim est suffisamment unique dans le monde de l’aventure pour être souligné ; il fait des choses sensationnelles sans rechercher de sponsors, sans se mettre en avant, sans tenter de médiatiser, il est profondément humain et en recherche de vérité. Son récit est sincère et honnête, comme raconté à un ami, sans chercher à se produire devant un public comme c’est souvent le cas de nombreux auteurs. Nous vous recommandons donc ce livre parce qu’il est très agréable à lire, parce que l’aventure est fantastique et parce que le bonhomme est hors normes? et puis son chien est marrant ! À lire absolument. »
Un lecteur, www.fnac.com, le 13 mars 2006 :
« Nomade du Grand Nord est une suite logique dans la vie de Kim Hafez. On suit le chemin de cet homme humble et surtout très humain, aimant la solitude et les grands espaces, même si les rencontres et l’échange lui sont nécessaires. On n’a qu’une hâte quand on finit un chapitre : c’est d’attaquer le suivant et surtout qu’il reparte en voyage pour nous faire rêver à nouveau. »