Collection « Voyage en poche »

  • Par le souffle de Sayat-Nova
  • Yamabushi
  • La Seine en roue libre
  • Jours blancs dans le Hardanger
  • Au nom de Magellan
  • Faussaire du Caire (Le)
  • Ivre de steppes
  • Condor et la Momie (Le)
  • Retour à Kyôto
  • Dolomites
  • Consentement d’Alexandre (Le)
  • Une yourte sinon rien
  • La Loire en roue libre
  • Sous les yourtes de Mongolie
  • Au vent des Kerguelen
  • Centaure de l’Arctique (Le)
  • La nuit commence au cap Horn
  • Bons baisers du Baïkal
  • Nanda Devi
  • Confidences cubaines
  • Pyrénées
  • Seule sur le Transsibérien
  • Dans les bras de la Volga
  • Tempête sur l’Aconcagua
  • Évadé de la mer Blanche (L’)
  • Dans la roue du petit prince
  • Girandulata
  • Aborigènes
  • Amours
  • Grande Traversée des Alpes (La)
  • Par les sentiers de la soie
  • Vers Compostelle
  • Pour tout l’or de la forêt
  • Intime Arabie
  • Voleur de mémoire (Le)
  • Une histoire belge
  • Plus Petit des grands voyages (Le)
  • Souvenez-vous du Gelé
  • Nos amours parisiennes
  • Exploration spirituelle de l’Inde (L’)
  • Ernest Hemingway
  • Nomade du Grand Nord
  • Kaliméra
  • Nostalgie du Mékong
  • Invitation à la sieste (L’)
  • Corse
  • Robert Louis Stevenson
  • Souffleur de bambou (Le)
  • Sagesse de l’herbe
  • Pianiste d’Éthiopie (Le)
  • Exploration de la Sibérie (L’)
  • Une Parisienne dans l’Himalaya
  • Voyage en Mongolie et au Tibet
  • Madère
  • Ambiance Kinshasa
  • Passage du Mékong au Tonkin
  • Sept sultans et un rajah
  • Ermitages d’un jour
  • Unghalak
  • Pèlerin d’Occident
  • Chaos khmer
  • Un parfum de mousson
  • Qat, honneur et volupté
  • Exploration de l’Australie (L’)
  • Pèlerin d’Orient
  • Cette petite île s’appelle Mozambique
  • Des déserts aux prisons d’Orient
  • Dans l’ombre de Gengis Khan
  • Opéra alpin (L’)
  • Révélation dans la taïga
  • Voyage à la mer polaire
Couverture

Étienne Hurault, Passion Rando n° 67, printemps 2023 :
? Voici une réédition (en poche) qui a du bon. Car une fois n’est pas coutume, il vous faudra braver l’écume avant d’arpenter vallées et plateaux nappés de brumes. Ceux des Kerguelen, confettis australs oubliés des hommes? mais pas de Christophe Houdaille. Tombé sous le charme de l’archipel lors d’une de ses circonvolutions à la voile, le vieux loup de mer y retourne pour l’explorer. Le mot sonne juste dans cette contrée sans sentier. L’itinérance se fait par sauts de puce autour des îles, puis sur 2 000 kilomètres le pied à terre. L’aventure, elle, est solitaire, excepté les rencontres avec de rares scientifiques en place et le spectacle de la vie animale. Partez pour quatorze mois de navigation et quatre incroyables randonnées hivernales sur l’une des terres les moins foulées du globe. Â»

La Manche libre n° 3481, le 20 août 2011 :
? L’archipel des Kerguelen, dans les 50es Hurlants, justement appelé par Cook les îles de la Désolation. De France, cela fait trois mois de navigation. Nul n’y reste. C’est un défi, au mieux une escale, non un séjour. Alors, Christophe Houdaille se demande pourquoi il a voulu, plus de quatre ans après, y retourner en solitaire et vivre près d’un an et demi sur ces terres sauvages et tristes.
La réponse, c’est lui qui nous la donne, sans s’en douter. On la décèle en le lisant : Christophe Houdaille est un amoureux de la mer. Un marin. Un vrai. Le contraire d’un plaisancier. Plus largement, il aime la nature. Surtout avec ses éléments déchaînés et ses animaux sauvages.
Un magnifique récit autobiographique, éventuellement à compléter par
Le Chant des voiles, petit recueil des pensées de ce sage un brin poète. Â»

Librairie de la mer :
? Un surprenant périple, carrément en dehors des sentiers battus ! La singulière aventure d’un solitaire tenace. Â»

Voiles et voiliers, 2000 :
? Pendant seize mois, Christophe Houdaille vit seul à Kerguelen, en autonomie quasi totale. Ce livre comporte de belles pages maritimes, s’intéressant moins au factuel qu’au sensoriel, nourries d’impressions que laissent ces jours et ces nuits, rythmés par la mer et le vent, au service du bateau. Mais le récit concerne surtout cette terre minérale des Quarantièmes, où le navigateur enchaîne des navigations osées et des randonnées hivernales. Loin de toute médiatisation et sans aucun moyen de communication avec l’extérieur, cette aventure à la rencontre de la faune et de la roche a une authenticité salutaire, en ces temps de commercialisation d’“exploits” plus ou moins fabriqués. Â»

Nicolas Vergneau, août 2000 :
? En ouvrant ce livre, j’ai eu l’heureuse surprise de lire le récit d’une aventure humaine, d’y trouver une réflexion, très juste, sur la solitude, la place de l’homme au sein du vivant, d’y vivre aussi, par procuration, une expérience fusionnelle. La lucidité et l’honnêteté dont l’auteur fait preuve dans l’exposé de ses angoisses et de ses doutes quant à l’objet réel de la quête entreprise à travers ce voyage, dans le récit de ses craintes de retourner à la “civilisation”, tout cela m’a beaucoup ému. Et puis naturellement il y a la description époustouflante d’une nature inviolée, dont l’austère beauté minérale est tellement éloignée de ce qui nous entoure quotidiennement. Â»

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