Collection « Voyage en poche »

  • Par le souffle de Sayat-Nova
  • Yamabushi
  • La Seine en roue libre
  • Jours blancs dans le Hardanger
  • Au nom de Magellan
  • Faussaire du Caire (Le)
  • Ivre de steppes
  • Condor et la Momie (Le)
  • Retour à Kyôto
  • Dolomites
  • Consentement d’Alexandre (Le)
  • Une yourte sinon rien
  • La Loire en roue libre
  • Sous les yourtes de Mongolie
  • Au vent des Kerguelen
  • Centaure de l’Arctique (Le)
  • La nuit commence au cap Horn
  • Bons baisers du Baïkal
  • Nanda Devi
  • Confidences cubaines
  • Pyrénées
  • Seule sur le Transsibérien
  • Dans les bras de la Volga
  • Tempête sur l’Aconcagua
  • Évadé de la mer Blanche (L’)
  • Dans la roue du petit prince
  • Girandulata
  • Aborigènes
  • Amours
  • Grande Traversée des Alpes (La)
  • Par les sentiers de la soie
  • Vers Compostelle
  • Pour tout l’or de la forêt
  • Intime Arabie
  • Voleur de mémoire (Le)
  • Une histoire belge
  • Plus Petit des grands voyages (Le)
  • Souvenez-vous du Gelé
  • Nos amours parisiennes
  • Exploration spirituelle de l’Inde (L’)
  • Ernest Hemingway
  • Nomade du Grand Nord
  • Kaliméra
  • Nostalgie du Mékong
  • Invitation à la sieste (L’)
  • Corse
  • Robert Louis Stevenson
  • Souffleur de bambou (Le)
  • Sagesse de l’herbe
  • Pianiste d’Éthiopie (Le)
  • Exploration de la Sibérie (L’)
  • Une Parisienne dans l’Himalaya
  • Voyage en Mongolie et au Tibet
  • Madère
  • Ambiance Kinshasa
  • Passage du Mékong au Tonkin
  • Sept sultans et un rajah
  • Ermitages d’un jour
  • Unghalak
  • Pèlerin d’Occident
  • Chaos khmer
  • Un parfum de mousson
  • Qat, honneur et volupté
  • Exploration de l’Australie (L’)
  • Pèlerin d’Orient
  • Cette petite île s’appelle Mozambique
  • Des déserts aux prisons d’Orient
  • Dans l’ombre de Gengis Khan
  • Opéra alpin (L’)
  • Révélation dans la taïga
  • Voyage à la mer polaire
Couverture

Anna Soskin, lectrice, le 19 janvier 2025 :
« J’ai beaucoup aimé ce livre que vous m’avez conseillé à Lalouvesc cet été. Une plongée dans la relation mère fille, dans l’acceptation de laisser grandir son enfant, dans le deuil, dans des paysages reculés, dans l’arrivée de la modernité avec un contexte historique intéressant. Un livre qui aborde intimité et société avec tendresse et force de vie. »

Marianne Messerli, retraitée, novembre 2024 :
« Un livre sensible et tout en finesse que j’ai lu avec grand bonheur. J’ai eu la chance de ne pas être seule pour accompagner mes enfants, mais certaines émotions, certains questionnements de Mariette résonnent en moi comme quelque chose de très familier. L’émerveillement devant le cheminement et la force de mes enfants et le travail incessant à faire sur soi-même pour rester serein et confiant quand ils vont de l’avant? Quant au contexte du récit, il donne tout simplement envie de lacer ses chaussures de marche et partir à la découverte du Hardanger ! »

Luc Triboulet, chef de clinique, octobre 2024 :
« Jours blancs dans le Hardanger est une histoire captivante dont la profondeur est immense. Nous découvrons en même temps la Norvège au temps de la construction des chemins de fer avec des références historiques très fournies. »

Edmond Baudoin, auteur de bandes dessinées, septembre 2024 :
« Avec Jours blancs dans le Hardanger, j’ai fait une balade en Norvège et dans le temps où une enfant grandit avec, pour univers, des pierres, de la glace et une ligne de chemin de fer en construction. Un livre dense et qui pourtant laisse le silence s’installer au fil des pages. J’ai eu beaucoup de mal à me retrouver seul, quand à la dernière page Magde sur son piano joue Les Chants de l’aube de Schumann avant de quitter la maison. »

Caroline Riegel, écrivain aventurière, juillet 2024 :
« La plume de Mariette Nodet est si intime, sensible, qu’elle touche à l’invisible, à l’indicible. Cette plume raconte l’amour et la peur d’une femme contrainte d’élever seule sa fille et pour qui les mots du quotidien ne peuvent pas suffire à décrire l’ampleur des émotions. Nous connaissons tous ce sentiment de ne pas réussir à exprimer l’intensité et la complexité de nos cœurs. Grâce à un remarquable travail d’écriture, l’auteur nous fait le cadeau du sien, mis à nu comme sans doute jamais elle ne l’avait fait auparavant. Et c’est bien ce qui fait la force et la sincérité de ce roman, son infinie délicatesse au cœur d’un monde abrupt. Jours blancs dans le Hardanger est un livre bouleversant : le cadeau inestimable d’une mère à sa fille qui grandit, tel un rituel de passage où elle lui transmet l’invisible et l’indicible justement. Lire ce livre donne résolument le courage de s’accrocher à la vie, à la joie, envers et contre tout. »

Juliette Soleilhac, lycéenne, le 16 juin 2024 :
« J’ai beaucoup aimé ce livre pour plusieurs raisons. La première est que Mariette Nodet écrit vraiment bien : elle nous fait vivement ressentir des émotions de tristesse et de joie. J’ai lu beaucoup de livres, mais celui-ci est l’un des rares qui transmette des émotions aussi fortes. La seconde est que l’histoire est triste et belle à la fois. L’auteur se place du point de vue de la mère, car elle ne veut pas dire des choses à la place de sa fille. On sent sa détresse liée à la perte de son mari, et c’est pourquoi elle est restée dans cette partie isolée de la Norvège, mais dans toute cette tristesse on peut aussi comprendre le rayon de soleil qu’est sa fille et la joie qu’elle lui a procurée durant toutes les années qu’elles ont vécues ensemble, jusqu’à l’arrivée du train dans le village de Finse, du train qui va les éloigner, l’une pour entreprendre des études, l’autre pour se résoudre à la laisser partir. »

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