Une disparition il y a trente ans déjà :
« Notre pilote à crinière rouge vient de mettre la même compétence calme à enlever son bi-turbopropulseur qu’il en a mis à le poser, un peu plus tôt, et nous voguons à nouveau dans la luminosité sans soleil du tropique.
La forêt, encore et toujours, au-dessous. La forêt amazonienne qui ne cesse de parler à l’imaginaire au point qu’on lui dénierait toute limite. Là-bas, en direction sud-ouest, ils existent bel et bien ces monts Tumuc-Humac. On rêverait à une navigation sans fin, à des bornes qui ne pourraient être que l’extrémité d’un continent.
Qu’adviendrait-il des passagers d’un petit appareil qui viendrait à se “crasher” dans cette bouillie végétale ? Combien de temps faudrait-il à la Légion pour retrouver là-dedans corps et débris de tôles ?
Fascinantes Guyanes ! »
Premier départ de Maripasoula (p. 84-87)
L’or du fleuve et la nuit (p. 91-93)
Les Indiens et nous (p. 106-109)
« Notre pilote à crinière rouge vient de mettre la même compétence calme à enlever son bi-turbopropulseur qu’il en a mis à le poser, un peu plus tôt, et nous voguons à nouveau dans la luminosité sans soleil du tropique.
La forêt, encore et toujours, au-dessous. La forêt amazonienne qui ne cesse de parler à l’imaginaire au point qu’on lui dénierait toute limite. Là-bas, en direction sud-ouest, ils existent bel et bien ces monts Tumuc-Humac. On rêverait à une navigation sans fin, à des bornes qui ne pourraient être que l’extrémité d’un continent.
Qu’adviendrait-il des passagers d’un petit appareil qui viendrait à se “crasher” dans cette bouillie végétale ? Combien de temps faudrait-il à la Légion pour retrouver là-dedans corps et débris de tôles ?
Fascinantes Guyanes ! »
(p. 77-78)
Premier départ de Maripasoula (p. 84-87)
L’or du fleuve et la nuit (p. 91-93)
Les Indiens et nous (p. 106-109)