Collection « Voyage en poche »

  • Par le souffle de Sayat-Nova
  • Yamabushi
  • La Seine en roue libre
  • Jours blancs dans le Hardanger
  • Au nom de Magellan
  • Faussaire du Caire (Le)
  • Ivre de steppes
  • Condor et la Momie (Le)
  • Retour à Kyôto
  • Dolomites
  • Consentement d’Alexandre (Le)
  • Une yourte sinon rien
  • La Loire en roue libre
  • Sous les yourtes de Mongolie
  • Au vent des Kerguelen
  • Centaure de l’Arctique (Le)
  • La nuit commence au cap Horn
  • Bons baisers du Baïkal
  • Nanda Devi
  • Confidences cubaines
  • Pyrénées
  • Seule sur le Transsibérien
  • Dans les bras de la Volga
  • Tempête sur l’Aconcagua
  • Évadé de la mer Blanche (L’)
  • Dans la roue du petit prince
  • Girandulata
  • Aborigènes
  • Amours
  • Grande Traversée des Alpes (La)
  • Par les sentiers de la soie
  • Vers Compostelle
  • Pour tout l’or de la forêt
  • Intime Arabie
  • Voleur de mémoire (Le)
  • Une histoire belge
  • Plus Petit des grands voyages (Le)
  • Souvenez-vous du Gelé
  • Nos amours parisiennes
  • Exploration spirituelle de l’Inde (L’)
  • Ernest Hemingway
  • Nomade du Grand Nord
  • Kaliméra
  • Nostalgie du Mékong
  • Invitation à la sieste (L’)
  • Corse
  • Robert Louis Stevenson
  • Souffleur de bambou (Le)
  • Sagesse de l’herbe
  • Pianiste d’Éthiopie (Le)
  • Exploration de la Sibérie (L’)
  • Une Parisienne dans l’Himalaya
  • Voyage en Mongolie et au Tibet
  • Madère
  • Ambiance Kinshasa
  • Passage du Mékong au Tonkin
  • Sept sultans et un rajah
  • Ermitages d’un jour
  • Unghalak
  • Pèlerin d’Occident
  • Chaos khmer
  • Un parfum de mousson
  • Qat, honneur et volupté
  • Exploration de l’Australie (L’)
  • Pèlerin d’Orient
  • Cette petite île s’appelle Mozambique
  • Des déserts aux prisons d’Orient
  • Dans l’ombre de Gengis Khan
  • Opéra alpin (L’)
  • Révélation dans la taïga
  • Voyage à la mer polaire
Couverture

Nathalie Glorion, www.lespassionsdechinouk.com, le 28 avril 2019 :
? Avec Corse, La route des cimes, nous allons suivre Cristina et son ami Jean-Claude pendant deux semaines. Tout au long de ces 180 kilomètres, elle nous parlera du changement qu’a subi le sentier depuis son premier passage dans l’autre sens et des rencontres faites en chemin. C’est d’ailleurs sur celles-ci que l’auteure met l’accent. De très belles rencontres et de magnifiques paysages qui pourraient vite faire oublier aux novices la dureté du chemin. Une pénibilité qui ressort très peu (voire pas) dans ce récit. J’imagine que ce n’était pas le but, il faut dire aussi que Cristina et Jean-Claude ont l’habitude de randonner en montagne, ils se sont d’ailleurs rencontrés lors d’un trek au Népal. J’ai eu légèrement peur au début de ma lecture, car après le récit de ses trois premiers jours, j’ai eu l’impression que Cristina Noacco avec fait ces trois jours les doigts dans le nez, alors que ce sont trois des plus dures étapes du parcours. Pour pouvoir me projeter, j’ai besoin que l’auteur me fasse vivre son ressenti. Aucune mention de dureté ici, j’ai même eu l’impression qu’elle flânait le nez au vent. Ce petit désagrément passé, elle a tout de même réussi à m’embarquer avec elle grâce à sa très belle plume. J’ai compris qu’elle souhaitait mettre l’accent sur les rencontres, les histoires du chemin et nous partager son amour pour l’île de Beauté. Finalement, c’est bien agréable de marcher sur le GR20 sans se fatiguer. Même si je n’ai pas vécu l’aventure aussi intensément que pendant ma lecture de Pyrénées la grande traversée de Christophe Houdaille, Corse, La route des cimes de Cristina Noacco est un très beau récit qui vous fera aimer la Corse et que je recommande même aux personnes qui ne sont pas adeptes des récits de voyage. Car outre le récit de sa randonnée, c’est une vraie ode à la Corse que nous propose Cristina Noacco dans ce livre. Â»

Jonathan Sirvins, lecteur et randonneur, le 6 mars 2019 :
? Lu d’une traite ! Impossible de m’arrêter ! Lire ce récit aura été pour moi un déluge d’émotions. Si à la fin de l’aventure tu imagines les cris de joie et les accolades, crois-moi, ils ont eu lieu, malgré le regret de ne pas avoir tous pu fêter l’arrivée ensemble. J’aime beaucoup la façon discrète que tu as de faire apparaître les personnages, de façon anodine, des marcheurs parmi d’autres qui deviennent petit à petit des protagonistes lorsqu’on se rend compte que les chemins se côtoient depuis un moment. Ça reflète vraiment les rencontres qui se produisaient, sans besoin de présentations, juste une silhouette, une trajectoire, des envies et des expériences. Quelle chance de voir nos aventures immortalisées !
Le jour où on s’est véritablement rencontrés au sommet du Monte Cinto aura été un des plus beaux de ma vie (à part la piscine dans ma tente). Sans vouloir être redondant et faire dans le sentimentalisme, j’ai entrepris ce voyage pour y chercher la solitude, j’en suis revenu avec des amis. Comme quoi on a bien la preuve que ce qu’on souhaite n’est pas forcément ce dont on a besoin. J’espère pouvoir me stabiliser dans ma vie et repartir voyager avec vous. Ça m’a fait un effet étrange, dans les dernières pages, de revoir toutes ces silhouettes disparaître une à une.
Merci de m’avoir permis de vivre cette aventure deux fois. Â»


Claude Malherbe, professeur à la retraite, le 21 février 2019 :
? J’ai pris grand intérêt à votre récit. D’autant que ma mère est née à Conca, où nous avons encore notre maison familiale, et qu’à Bavella se trouve la chalet où ma mère allait tous les étés avec sa famille quand elle était petite. Je connais donc cette partie du parcours que j’ai faite quelquefois. Je n’en suis que plus admiratif de vos qualités de montagnarde ! Le GR20 est redouté des randonneurs.
J’ai particulièrement goûté la précision des descriptions, la richesse des détails sur la flore et la faune ; de même aussi la diversité des épisodes où se révèlent à la fois votre goût de la contemplation solitaire et celui de la chaleur des petites sociétés qui se forment au hasard des rencontres. C’est une narration vivante, sensible et chaleureuse. Votre amour de la nature fait de vous une avocate convaincante de ses beautés, surtout quand elles sont corses? Â»

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