Nathalie Glorion, www.lespassionsdechinouk.com, le 2 juin 2012 :
? Je viens de découvrir un auteur que je ne connaissais pas et qui a su me charmer par sa plume. Philippe Sauve sait écrire, ça, c’est sûr ! Son style est fluide, les chapitres sont courts, tout ce que j’aime. J’ai dévoré ce livre en quelques heures, impossible de le lâcher puis les 24 pages avec les photos noir et blanc de l’auteur sont juste magnifiques.
Sur un coup de tête, et pour sauver sa vie, Philippe prend le premier avion en partance et le voilà en route pour La Nouvelle-Orléans. Qui n’a jamais eu l’envie d’en faire autant ? Son aventure est une suite de rencontres dues au hasard, certaines très belles et d’autres plutôt douteuses, mais qui le font toujours avancer dans sa quête spirituelle et son envie de sevrage. Qui est Dieu ? Voilà le fil conducteur de ce récit. J’avoue que, par moments, je lui ai tout de même trouvé certaines longueurs : la recherche de son “dieu” je suis un peu passée à côté, simplement parce que j’ai vraiment du mal avec la religion. Mais l’important c’est qu’à la fin de son récit et avant de rentrer en France, il ait pu trouver la réponse à sa quête. Et puis l’amitié qu’il porte à son ami Jim est tellement touchante !
Je vous recommande très chaudement ce livre. »
Aurélie Mandon, Globe-Trotters n° 138, juillet-août 2011 :
? Philippe Sauve tente ici un récit de voyage façon road-movie rédempteur et initiatique : s’écarter des drogues dures en se plongeant au cœur des États-Unis. De La Nouvelle-Orléans à Pierre dans le Dakota du Sud, il trace son chemin au gré des rencontres et guidé par une quête spirituelle. Il en reviendra avec une certitude, sa religion, écrire à tout prix. »
Sylvain, Tesson, Grands reportages n° 352, mars 2011 :
? Philippe Sauve a failli être victime du trafic? de stupéfiants. Il raconte dans une subtile confession intitulée Errance amérindienne (éditions Transboréal) la manière dont ses voyages dans l’Amérique profonde l’ont arraché à la spirale de la drogue. Le voyage ne forme peut-être pas la jeunesse mais, parfois, il la sauve. »