Collection « Sillages »

  • Namaste
  • La 2CV vagabonde
  • Ísland
  • Habiter l’Antarctique
  • Cavalières
  • Damien autour du monde
  • À l’ombre de l’Ararat
  • Moi, Naraa, femme de Mongolie
  • Carpates
  • Âme du Gange (L’)
  • Pèlerin de Shikoku (Le)
  • Ivre de steppes
  • Tu seras un homme
  • Arctic Dream
  • Road Angels
  • L’ours est mon maître
  • Sous les yourtes de Mongolie
  • Cavalier des steppes
  • Odyssée amérindienne (L’)
  • Routes de la foi (Les)
  • Aborigènes
  • Diagonale eurasienne
  • Brasil
  • Route du thé (La)
  • Dans les pas de l’Ours
  • Kamtchatka
  • Coureur des bois
  • Aux quatre vents de la Patagonie
  • Siberia
  • Sur la route again
  • À l’écoute de l’Inde
  • Seule sur le Transsibérien
  • Rivages de l’Est
  • Solitudes australes
  • Espíritu Pampa
  • À l’auberge de l’Orient
  • Sans escale
  • Au pays des hommes-fleurs
  • Voyage au bout de la soif
  • Errance amérindienne
  • Sibériennes
  • Unghalak
  • Nomade du Grand Nord
  • Sous l’aile du Grand Corbeau
  • Au cœur de l’Inde
  • Pèlerin d’Orient
  • Pèlerin d’Occident
  • Souffleur de bambou (Le)
  • Au vent des Kerguelen
  • Volta (La)
  • Par les sentiers de la soie
  • Atalaya
  • Voie des glaces (La)
  • Grand Hiver (Le)
  • Maelström
  • Au gré du Yukon
Couverture

Pierre Sahuc, Outdoor Go ! n° 7, mai-juin 2018 :
? Émeric voyage en solitaire mais pas n’importe où (de Seattle au détroit de Béring) et pas n’importe comment (en kayak, à pied ou à chiens de traîneau). Sous l’aile du Grand Corbeau nous emmène sur les 7 000 kilomètres de son itinéraire, dans le sillage de son kayak, tout le long de l’Inside Passage, ou dans la poche de son sac à dos, aux confins de l’Alaska. La nature sauvage et spectaculaire de la région est à l’honneur, ses rares habitants aussi. Un grand livre d’aventurier à redécouvrir. »

Jean-François Cuignet, lecteur, le 25 avril 2011 :
? Ne pas dissocier l’action de la pensée, ne pas juger, aimer et savourer chaque instant, chaque rencontre où l’on ne vous claque pas la porte au nez. Pourtant, dans vos livres, jusqu’ici, pas de leçon de sagesse, même si vous en auriez à faire partager, comme Saint-Exupéry dans Terre des hommes ou Lettre à un otage. Il y a aussi du saint François dans votre démarche et j’aime cela.
Bien entendu, je suis admiratif face à l’engagement dans vos aventures, l’effort physique, l’humilité chevillée au corps, comme votre sac à dos de 50 kg. J’ai connu l’eau à 7 °C, pour quelques instants seulement, et en étant payé pour cela : ce n’est pas une partie de plaisir. Traverser les rivières comme vous le faites est une folie pour les humains, et peut-être une sagesse pour Dieu. Sans parler des distances parcourues en un jour, que ce soit à pied, en kayak ou en traîneau. Ceux qui savent ce qu’est l’effort physique apprécieront. »


Marion Bouaillée, goingwest.canalblog.com, le 24 avril 2011 :
? Ensuite j’ai lu ÇA. Le monstre, l’énorme bouquin qui ne tenait même pas dans mon sac à main. Génial aussi, un récit de voyage tout simple, pas suivi du tout, parce qu’en voyage, on n’a pas tous les jours envie d’écrire. Émeric Fisset est un petit peu taré, il faut bien le dire, puisqu’il voyage toujours seul, et plus c’est compliqué, mieux c’est. Je vous mets la bio que l’on trouve sur le site des éditions Transboréal, histoire de vous donner envie. Par ailleurs cette maison d’édition a une vraie vision de ce qu’elle veut publier, et tout y est bien? lisez par curiosité les autres titres du même auteur, c’est à vous donner envie d’enfiler vos chaussures de marche dans l’instant. Le seul autre ouvrage de lui que j’aie lu il y a quelques mois ne fait que quelques dizaines de pages et s’intitule L’Ivresse de la marche, Petit manifeste en faveur du voyage à pied. »

Hélène Dumur, helene.dumur.free.fr, octobre 1998 :
? “De Seattle au détroit de Béring” : un long, très long périple, en kayak, à pied, en traîneau à chiens, à travers l’Alaska, bravant l’océan, le grand froid, tous les périls dans une nature tout aussi magnifique que souvent hostile ! On suit l’extraordinaire aventure de cet homme seul, à l’indestructible volonté, qui sait faire naître autour de lui diverses présences amicales, lesquelles, comme une grande chaîne déployée au travers du pays, l’aideront à aller jusqu’au bout de sa quête. On est tellement proche d’Émeric Fisset tout au long de ce voyage que sa fin abrupte surprend et attriste (comme d’ailleurs, elle a dû fort attrister l’auteur). Alors, à quand de nouvelles aventures vraies ? Parce qu’à suivre ce “héros”, on est à la fois dépaysé et riche de tant de choses nouvelles? »

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