Collection « Sillages »

  • Treks au Népal
  • La 2CV vagabonde
  • Ísland
  • Habiter l’Antarctique
  • Cavalières
  • Damien autour du monde
  • À l’ombre de l’Ararat
  • Moi, Naraa, femme de Mongolie
  • Carpates
  • Âme du Gange (L’)
  • Pèlerin de Shikoku (Le)
  • Ivre de steppes
  • Tu seras un homme
  • Arctic Dream
  • Road Angels
  • L’ours est mon maître
  • Sous les yourtes de Mongolie
  • Cavalier des steppes
  • Odyssée amérindienne (L’)
  • Routes de la foi (Les)
  • Aborigènes
  • Diagonale eurasienne
  • Brasil
  • Route du thé (La)
  • Dans les pas de l’Ours
  • Kamtchatka
  • Coureur des bois
  • Aux quatre vents de la Patagonie
  • Siberia
  • Sur la route again
  • À l’écoute de l’Inde
  • Seule sur le Transsibérien
  • Rivages de l’Est
  • Solitudes australes
  • Espíritu Pampa
  • À l’auberge de l’Orient
  • Sans escale
  • Au pays des hommes-fleurs
  • Voyage au bout de la soif
  • Errance amérindienne
  • Sibériennes
  • Unghalak
  • Nomade du Grand Nord
  • Sous l’aile du Grand Corbeau
  • Au cœur de l’Inde
  • Pèlerin d’Orient
  • Pèlerin d’Occident
  • Souffleur de bambou (Le)
  • Au vent des Kerguelen
  • Volta (La)
  • Par les sentiers de la soie
  • Atalaya
  • Voie des glaces (La)
  • Grand Hiver (Le)
  • Maelström
  • Au gré du Yukon
Couverture

Élisa Guerra, www.comidashop.com, le 5 octobre 2016 :
« Franck Degoul a traversé le Brésil à pied de Chuí (la ville la plus méridionale du pays) à Oiapoque (la ville la plus septentrionale). Ce voyage lui a pris neuf mois. Un exploit sportif et une aventure humaine racontés de manière très intelligente. Son regard d’anthropologue et de sociologue influe dans son écriture et dans la manière de vivre son voyage : rencontrer les Brésiliens, partager leur humanité. Loin des clichés habituels, le livre nous fait découvrir un Brésil secret et paradoxal. En suivant l’itinéraire de Franck Degoul, on a même la sensation de remonter le cours de l’histoire du pays.
Dans le Sud, il découvre la culture
gaúcha, il partage avec les “hommes à cheval” le chimarrão, présent dans de nombreux pays latinos et plus connu sous le nom de “maté”. Parcourir à pied une contrée seize fois vaste comme la France réclame de l’énergie : la cafezinho du matin était souvent accompagnée de pães de queijo – pains au fromage nourrissants et peu onéreux. Les Brésiliens en consomment régulièrement avec le café. Il consommait également des paçoca, friandises à base d’arachide parfois accompagnées de manioc : également une autre façon de trouver l’énergie durant la journée de marche.
Franck Degoul suivait la route et partageait les lieux de restauration avec les routiers. Il a ainsi découvert les
churrasqueirias, un mode de restauration unique où une grande quantité de viande est rôtie à la broche et servie à volonté accompagnée de légumes. D’autres jours, il profitait plutôt de plats à emporter à base de haricots noirs, de riz, de viande salée et de chou vert. Aux vendeurs croisés au bord de la route, il achetait des bananes, des oranges, des ananas, énergisants et faciles à consommer… Dans les villes où il se reposait le soir en sécurité, il dégustait des cocktails à base de jus de fruits. Les Brésiliens, qui ont l’habitude de confectionner des cocktails savoureux et vitaminés, disent même qu’il y a une recette pour soigner chaque pépin de santé. Les jus préférés de ce marcheur insolite ? Ceux mélangés à du lait et du sucre, mais il a également goûté ceux à la poudre de guarana et d’açaï. Franck Degoul a traversé des réserves indiennes. Il a plus particulièrement pris le temps de rencontrer les Guaranis dans le Sud. Il les a vus partager des galettes de tapioca, vendre des bananes mais aussi pour certains se perdre dans l’alcool… Ces instants culinaires ne sont pas mis en exergue dans son récit.
À la suite de la lecture de son livre, que j’ai dévoré, j’ai contacté l’auteur. Son accueil a été chaleureux et il a accepté de partager une heure de conversation avec moi pour répondre à mes questions. J’ai eu le sentiment que notre discussion était dans le même esprit que son voyage : une volonté de partage (il a souhaité en savoir autant sur moi, les raisons de cette interview, mes projets)… On ne saura pas si Franck Degoul a réalisé ce voyage avec cette ouverture aux autres ou si c’est le voyage qui l’a ainsi façonné. Quoi qu’il en soit, je vous recommande chaudement son ouvrage ; vous n’aurez plus envie de le lâcher. Le lecteur voit avec les yeux de l’auteur, vit les aventures et les rencontres avec lui, partage ses joies, traverse les mêmes paysages mais endure aussi ses craintes et ses épreuves. On traverse un Brésil authentique, réel, non touristique, ni tapageur. Le temps de la lecture n’est pas le temps du voyage. Emporté par les mots, on traverse rapidement ce pays ; et de comprendre profondément le Brésil d’aujourd’hui et ses habitants, d’où ils viennent, ce qu’ils y font. Parallèlement, au fil des pages, Franck Degoul dévoile son esprit et les changements qui s’opèrent en lui et qui en font aujourd’hui un homme riche. »


Jean Servais, lecteur, le 18 décembre 2015 :
« J’ai commencé la lecture de votre récit et ne vous ai pas lâché de la première et la dernière page. J’ai adoré cette aventure, le courage déployé pour parcourir ces 5 000 kilomètres à travers des contrées parfois peu rassurantes mais aussi des rencontres insolites et souvent furtives mais ô combien importantes pour réussir cette aventure. Que de souvenirs amassés dans votre mémoire en huit mois, que de moments de solitude à surpasser, que de joie devant des paysages inconnus ! Que d’informations de toutes sortes sur cet immense pays vous délivrez au lecteur !
J’ai beaucoup aimé le fond de cette “tranche de vie” et aussi la forme. J’aime le style, le vocabulaire employé ; c’est un vrai plaisir de vous lire ! La carte placée en début de livre est une très bonne idée pour suivre votre itinéraire au fur et à mesure des jours. J’ai passé, en juillet de cette année, quatre semaines en Guyane à titre professionnel. Cela m’a aidé à comprendre et à apprécier votre extraordinaire exploit.
Avez-vous déjà commis d’autres œuvres ou est-ce un premier essai ? Si oui, j’aimerais en connaître les titres, sinon, continuez à écrire ! Encore les bravos et les mercis d’un lecteur conquis. »


Kakienet, www.ciao.fr, le 17 novembre 2015 :« Dès la première page, je sus que je n’allais pas m’ennuyer ; à la quatorzième, les mots s’étaient faits miens, le flot me submergeait. L’aventure ne serait donc pas seulement partage, je sentais qu’exsudait le texte et que déjà son humanité me transporterait, m’emmènerait loin de mes montagnes dans des contrées inconnues. Un style vivant, riche, qui sent l’amour du verbe, le désir du mot, sans jamais tomber dans le verbiage. Des longues énumérations aux phrases courtes et percutantes, quasi lapidaires. Tout le contraire d’un style morne et laborieux. »

Jean-Christophe Buisson, Le Figaro Magazine, les 23-24 octobre 2015 :
« Une récompense, la Toison d’or du livre d’aventure vécue de Dijon, que Cédric Gras partage avec un autre voyageur à la plume sensible et habitée, Franck Degoul, auteur de Brasil, La grande traversée. »

Caroline Doudet, leschroniquesculturelles.com, le 19 octobre 2015 :
« Sillonner dix États, franchir des fleuves en barge ou bateau, cheminer par tous les temps, essuyer des tempêtes, connaître la solitude, la peur, l’angoisse, des moments de joie fulgurante. Faire mille rencontres, brèves, éphémères ou durables. Éprouver l’abnégation, la résignation, l’endurance, l’effort, les doutes, l’éloignement ; mais encore la confiance, la foi, l’espoir. Coucher partout, n’importe où, nulle part : dans des petites chambres d’hôtel de passe ou de route ; sur le parvis de pavés ou de terre battue des stations-service, à quelques mètres de poids lourds aux moteurs encore brûlants ; sur le plancher en bois de quelque échoppe exiguë ; dans des baraquements vides qu’il faut dépoussiérer patiemment avant d’en faire son refuge. Et puis, au fil de la marche, apprendre à marcher. C’est-à-dire retrouver la simplicité de ce mouvement premier sans lequel l’humanité ne se serait jamais déployée, mouvement aussi consubstantiel à l’homme que sa propre respiration. Depuis que j’ai fini ma thèse, je ne lis plus guère de récits de voyage : je pense qu’en six ans de recherches j’en ai lu à peu près pour toute une vie. Mais ma curiosité est souvent plus forte que tout, et c’est comme ça que je me suis retrouvée à lire ce récit de traversée du Brésil, d’autant qu’il s’agit d’un pays qui m’intéresse.
L’auteur, Franck Degoul, est docteur en anthropologie. Il raconte dans ce livre sa traversée à pied du Brésil, 5 000 kilomètres entre Chuí au sud et Oiapoque au nord, trajet qui lui prend huit mois en suivant la BR et qui lui permet d’expérimenter le monde d’une manière nouvelle : expérience de la liberté et de l’absence de projet précis sinon celui de se trouver soi. La grande réussite de ce récit est de parvenir à pleinement nous faire sentir les émotions du voyageur au fil de son cheminement : si, comme tout récit de voyage, celui-ci n’est pas exempt, au départ, de déceptions nées de l’écart entre ce que l’auteur avait rêvé et la réalité moins poétique, très vite la rencontre se fait avec ce pays métissé, où les cultures et les influences se croisent, où la pauvreté la plus grande côtoie l’opulence. Les gens le reçoivent avec curiosité et générosité, très peu d’hostilité, et malgré les dangers de la route l’auteur ne fait finalement pas de mauvaises rencontres : au contraire, il fait connaissances avec de magnifiques personnes, qui lui donnent un peu d’elles-mêmes et de leur histoire en plus de la nourriture et du coin pour planter sa tente dont il a besoin. À cette diversité des gens répond celle des paysages, faisant réellement du Brésil une “terre de contrastes” et donnant l’impression de traverser plusieurs pays différents.
Aventure humaine, le voyage est aussi une expérience de la lenteur, de l’immersion, du dépouillement et du lâcher-prise : se laisser porter par l’occasion et les aléas de la route ! Accompagné d’une carte et d’un très beau cahier de photos, ce récit très humain ravira les amateurs de voyage et d’aventures hors du commun, où l’humain tient une place essentielle ! »


Keisha, enlisantenvoyageant.blogspot.fr, le 12 août 2015 :
« Encoooooooooore un récit de marche ! (si, vous l’avez pensé !) Oui mais là il s’agit de parcourir le Brésil du sud (Chuí, proche de l’Uruguay) au nord (Oiapoque, près de chez nous, enfin, la Guyane). Des milliers de kilomètres en sept mois et demi. De la pampa à la forêt équatoriale, le long d’une route (voire une piste) sillonnée par les camions et généralement bordée de clôtures (comme quoi il n’y a pas que la Sologne…), et donc au bord de laquelle il se révèle délicat de monter en toute sécurité Rotunda, la petite tente censée abriter notre marcheur, qui souvent se rabat sur les nombreuses stations-service, offrant eau, nourriture, douches, et rencontres.
Découvertes intérieures du marcheur qui ne s’appesantira pas sur ses difficultés et, comme Rufin, découvre le “bonheur de se sentir allégé”. Cependant, par prudence, il fallait bien prévoir eau et nourriture pour quelques longues étapes…
Frank Degoul est docteur en anthropologie et à ce titre a déjà roulé sa bosse dans pas mal d’endroits. Mais là, il ne s’agissait pas de séjourner en un lieu et d’étudier longuement, mais de “passer plutôt que demeurer”. Au fil du voyage, des paysages, des rencontres, se révèle un Brésil multiforme. Multiracial, on le savait, et les rencontres avec des indigènes déracinés sont tristes. Mais j’ignorais totalement l’existence de villes établies il y a un ou deux siècles par des immigrants allemands, italiens…
Aux moments de découragement, que de belles (et courtes) rencontres faisant oublier la déception d’autres. L’auteur a l’art de la description de ces moments parfois fugitifs, brefs en tout cas.
“Il semble qu’au Brésil, marcher soit le symptôme d’une déchéance. Marche celui que la misère met au pas – le vagabond, l’errant ; marche encore celui qui s’ensauve, qui s’évade. La marche n’est pas l’instrument d’une découverte mais une sentence, la bannière des réprouvés.”
Voleurs de grands chemins, pumas : les dangers guettaient notre voyageur. Intrépide, il a continué !
“Cette longue marche n’est pas prestigieuse
Cette longue marche n’est pas humanitaire
Cette longue marche n’est pas dans les pas de…
[…]
Cette longue marche ne fera pas un succès de librairie
où un aventurier solitaire, apollinien,
au regard aussi pur que les pays qu’il parcourt
[…]
Mais parvient avec son entier courage et ses ultimes ressources
à regagner Paris pour y briller au Salon du livre.
[…]
Cette longue marche est aussi vaine qu’une œuvre d’art
et sans doute aussi indispensable à son auteur.” »


Nathalie Kermovant, Le Télégramme n° 911, le 26 juillet 2015 :
« “D’un bout du monde à l’autre”, dit-on au Brésil, lorsqu’on va d’Oiapoque à Chui… Franck Degoul a fait le trajet inverse, remontant du sud au nord, à pied, alignant 5 000 kilomètres le long d’un ruban d’asphalte hypnotique qu’il ne quittera guère. Durant huit mois, le jeune homme sort de son ordinaire : lui qui, en tant qu’anthropologue, se pose dans un endroit délimité afin d’approfondir l’étude des lieux et des populations, là, il se met en mouvement. Il zappe d’une étape à l’autre, multiplie les rencontres : travailleurs exploités par les propriétaires terriens, routiers pleins d’empathie, prêts à l’aider, Indiens sans terre, gauchos tout en fierté, épiciers accueillants… Cheminant par tous les temps, au fil des paysages et des climats changeants, il souffre de la chaleur, la soif, il subit des tempêtes, doit affronter les dangers de ces routes fédérales très fréquentées. Peu à peu, il lâche prise, gage de liberté nouvelle. En filigrane se dessine un Brésil loin des clichés, moins festif, mais plus authentique. »

Nathalie Glorion, www.lespassionsdechinouk.com, le 26 juillet 2015 :
« Le Brésil – excepté son carnaval – est en pays que je ne connais pas. Ni son peuple ni son histoire. Alors j’ai vu avec Brasil, le livre de Franck Degoul, docteur en anthropologie, un moyen de remédier à cela efficacement, car quoi de mieux pour découvrir un pays que de le parcourir (par procuration) à pied ? Je remercie d’ailleurs les éditions Transboréal pour cette découverte et l’auteur pour sa gentille dédicace.
Il lui aura fallu un an de préparatifs avant d’affronter les 5 000 kilomètres qui l’attendaient, 5 000 kilomètres pour traverser le Brésil de Chuí (son extrême sud) à Oiapoque (son extrême nord). Périple qu’il a effectué en huit mois, pendant lesquels, avec sa tente Rotunda – oui, elle a un petit nom, sa tente ; et alors ? –, il a traversé le pays dans les terres, en longeant les routes. Le soir venu, il espérait trouver un coin tranquille, derrière une station-service, ou dans le jardin de l’habitant, loin des dangers en tout genre qu’engendre la route. Mais ce n’était pas une mince affaire, difficile de s’éloigner du bitume sur ces axes routiers.
Un périple que j’ai trouvé vraiment pas facile, de par ces 5 000 kilomètres de marche évidemment, mais surtout parce que, pendant la majeure partie du trajet, Franck longe la route. Une route passante et dangereuse. Il faut éviter de se faire écraser (c’est mieux) et de rencontrer des bandits de grand chemin. Et d’après les dires des locaux, ils sont nombreux au Brésil. De nombreuses rencontres jalonnent sa marche comme, par exemple, ces indigènes indiens dans le sud du pays qui, comme leurs homologues américains, ont été chassés de leurs terres et parqués dans des camps au profit de la culture intensive du soja. Il a dû affronter de nombreux problèmes matériels et de fortes intempéries. Ainsi que souffrir de la solitude. Il a fait de belles rencontres, je pense notamment aux routiers qui, à force de le croiser matin et soir sur leur route, l’ont pris sous leur aile.
Il lui aura fallu énormément de courage, car longer une route si bruyante et dangereuse n’est pas toujours une partie de plaisir d’autant plus quand celle-ci se perd dans l’horizon.
Je ne peux clôturer ce billet sans vous donner un petit extrait du chapitre “Point mort”. J’aurais pu copier le chapitre en entier tellement je le trouve beau ! En voici un extrait :
“Cette longue marche n’est pas du camping.
Cette longue marche n’est pas une expédition polaire.
Cette longue marche n’est pas l’exploration pionnière d’une
terra incognita.
Cette longue marche n’est pas prestigieuse.
Cette longue marche n’est pas humanitaire.
Cette longue marche n’est pas dans les pas de…
Cette longue marche n’est pas auréolée de succès avant même d’avoir été achevée.
Cette longue marche ne fera pas un succès de librairie” (j’espère bien que si !)
L’écriture claire et soignée de Franck Degoul fait de
Brasil un livre captivant. J’ai appris nombre de choses intéressantes sur l’histoire du peuple brésilien. Mais je dois vous avouer que pour rien au monde je n’aurais voulu échanger ma place contre la sienne, car même bien installée dans mon jardin, j’avais la plante des pieds qui chauffait pour lui. Un livre que je vous recommande fortement. »

Jean Duprez, La Provence, le 21 juin 2015 :
« Dans son livre, Franck Degoul, d’une plume alerte, raconte son aventure de neuf mois, par tous les temps, sur des routes souvent dangereuses et dans des contrées pas toujours très hospitalières. L’auteur brosse avec beaucoup de talent un portrait de chaque région traversée et nous fait partager ses difficultés matérielles – nourriture, hébergement, intempéries. On ne saurait trop recommander Brasil à tous les amoureux du voyage : 217 pages d’un récit tonique. »

Jean-Marc Porte, Trek Magazine n° 163, juin-juillet 2015 :
« De Chuí à Oiapoque, l’anthropologue Franck Degoul a traversé le Brésil à pied, du sud au nord, sur 5 000 kilomètres. Huit mois en solitaire au cours desquels il arpente les sentiers en latérite et les routes longilignes de ce pays aussi grand que l’Europe (sans la Russie). Son récit retrace l’histoire et l’actualité des communautés rencontrées, des descendants des colons européens aux Indiens devenus paysans “sans terre”. Chapitre par chapitre, ville par ville, son témoignage fait la part belle aux rencontres avec les populations locales et à la variété des paysages de ce “continent vert”. Comme une césure au milieu de son récit, une cinquantaine de photos illustrent quelques instants de son voyage, des pampas gaúchas à la jungle amazonienne. Villes, fleuves, forêts, autoportraits… ses clichés offrent à l’œil un bref moment d’évasion (presque ?) aussi délicieux que celui que ses mots offrent à l’esprit. »

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