
Martine Pinard, sucheta.canalblog.com, le 13 avril 2022 :
« J’ai lu le délicieux opuscule de Christophe Houdaille dans votre collection “Petite philosophie du voyage” et ai été touchée par ces témoignages merveilleux d’individus qui nous changent de ceux de la politique avec son lot de tristesses. Merci aussi pour ce tarif de 8 ? accessible à tous et qui permet des cadeaux aux proches !
Quant au petit livre, j’avoue que l’écriture nous donne des émotions que, quelquefois, même les plus belles images ne nous donnent pas ; Christophe Houdaille a une sensibilité et une intelligence bouleversantes. Lorsqu’il écrit sa rencontre avec les cachalots, ces magnifiques créatures marines, le lecteur s’arrête lui aussi. Quelle beauté ! Il ne devrait pas s’attarder aux propos des gens (égoïsme), car non c’est une vie généreuse, qui nous remplit tous d’espoir ! Cela fait du bien de ne pas entendre le mot pollution, déchets? De toute façon, on le sait. »
Stéphanie Noroy, ausautdulivre.blogspot.fr, le 28 novembre 2011 :
« Une nouvelle aventure en compagnie de la collection “Petite philosophie du voyage”. Cette fois-ci, j’ai embarqué à bord de Saturnin avec Christophe Houdaille, j’ai observé quantité d’oiseaux (un albatros m’a jeté un regard intrigué), j’ai entendu le vent claquer dans les voiles (néophyte, je n’ai pas retenu toutes les dénominations), j’ai été aux Kerguelen, ai doublé le cap Horn (même pas eu peur). On a navigué de conserve avec d’énormes cachalots et patienté au soleil dès que le vent se faisait attendre. Le roulis des mots ne m’a pas retourné l’estomac? Il y a longtemps que je n’avais pas été sur l’eau sans être malade, merci, Monsieur Houdaille ! »
Un internaute, www.fnac.com, le 22 décembre 2010 :
« Pour les amoureux de la voile. L’auteur partage quelques-unes de ses pensées et nous fait profiter de ses expériences. »
Louis Brousse, lecteur, le 2 novembre 2010 :
« J’ai lu et relu Le Chant des voiles et voudrais vous dire tout le bonheur que m’a procuré cette lecture. Vous n’êtes pas seulement un marin d’exception, vous êtes aussi un écrivain dans le plein sens du terme, capable de dire beaucoup avec peu de mots. Vous insistez sur l’importance du vocabulaire marin : ne pas l’apprendre, écrivez-vous, c’est rester infirme. Votre écriture reflète l’exigence de précision et la modestie qui sont la marque des vrais écrivains et des grands marins. Vous gardez le silence sur votre expérience lorsqu’on vous raconte les exploits de navigateurs glorifiés par les médias pour avoir “doublé le Horn”. Non, la performance sportive ne saurait être comparée aux épreuves endurées par les voiliers de commerce d’autrefois : les véritables héros du Horn sont bien, comme vous le rappelez, les équipages de ces grands voiliers. Les grandes courses océaniques où s’affrontent des multicoques de 60 pieds appartiennent à un univers d’où la vitesse a chassé le paysage marin. »
Jean-Claude Fleuret, navigateur, le 10 février 2010 :
« Magnifique, ce chant des voiles, lu d’un trait ! “Petites pensées”, petites, à voir !
Merci pour ce très beau texte ! Tant les mots justes, que le choix des images ou les descriptions, tout est un véritable petit bijou. Je suis certain que les voiles sont du même tonneau ! Regrets de n’avoir pu en profiter.
Merci beaucoup pour le très grand plaisir pris à vous lire ; merci aussi pour l’éclairage que vous donnez de la mer, un lieu extraordinaire que l’on pollue sans vergogne. »