PommeBleu, www.babelio.fr, le 5 janvier 2016 :
? J’ai découvert cette collection lors du festival ABM en novembre 2014. Ce livre facile à lire, parce que bien écrit et plein de générosité, nous fait part de l’art du voyage et des rencontres. Le vélo est le moyen de transport idéal pour approcher les gens sans leur faire peur et gagner leur sympathie le temps d’une soirée. Julien Leblay nous livre son expérience et sa petite philosophie en toute simplicité. »
Page1382, www.babelio.fr, le 26 décembre 2016 :
? Ce petit ouvrage est un voyage à lui tout seul. Les descriptions lyriques de Julien Leblay donnent par moments l’impression de pédaler à ses côtés, et l’hymne à la liberté de ce cyclonomade pourrait donner l’envie à de nombreux automobilistes de quitter le confort (ou l’emprisonnement) de leur habitacle pour la liberté du guidon. »
Axel, www.babelio.fr, le 10 octobre 2015 :
? Le cyclonomade aime profondément les cartes, bouts de papier maintes fois retournés, chiffonnés, décryptés. Lorsqu’il entre dans une cartothèque, il sait qu’il peut rester de longues minutes devant l’étalage, à étudier les détails de chacune. Les pentes sont-elles marquées ? Les chemins sont-ils mieux représentés sur l’une que sur l’autre ? Les reliefs sont-ils suffisamment dessinés ? Quelle échelle est la plus adaptée ? Lorsque la carte devient sienne, une fusion intime entre le voyageur et le document commence. La carte est le début du périple. »
Alexis Loireau, Carnets d’aventures hors-série HSV3, mai-juillet 2015 :
? C’est, à juste titre, l’un des best-sellers de la collection “Petite philosophie du voyage” de Transboréal. En moins de 100 pages, Julien Leblay passe en revue tous les petits et grands bonheurs du voyage à vélo. Entre essai philosophique et recueil de belles anecdotes vécues, il est l’un des livres indispensables de la bibliothèque du cyclo. »
Nathalie Glorion, www.lespassionsdechinook.com, le 23 octobre 2014 :
? Avec Le Tao du vélo, je découvre Julien Leblay, un cyclovoyageur dont vous entendrez sûrement parler de nouveau sur mon blog prochainement. Je trouve toujours agréable, entre deux grosses lectures, de me plonger dans une “Petite philosophie du voyage”, cette collection où des passionnés nous parlent avec leur cœur de ce qui les fait vibrer au travers de réflexions et d’anecdotes de voyage. Personnellement, je me tourne essentiellement vers les titres qui se rapportent au voyage ou à la nature, mais il y en a vraiment pour tous les goûts.
Le Tao du vélo en est à sa deuxième réédition ; toutefois, je suis contente d’avoir pu trouver la première car sa couverture me plaît et me correspond davantage. Étant dans une période où je redécouvre le plaisir de la randonnée à vélo, je me suis donc tournée vers cet ouvrage de Julien Leblay. Dès les premières phrases, j’ai été happée par l’écriture et les anecdotes de Julien qui, d’entrée de jeu, nous emmène à Punta Arena (Chili). C’est à l’âge de 16 ans, suite à un grave accident de tracteur, que Julien découvre le vélo. Utile à sa rééducation dans un premier temps, il devient vite un moyen d’explorer sa région puis le monde. Dans l’ouvrage, il est exclusivement question du cyclorandonneur, celui qui prend le temps d’apprécier son voyage, qui préfère être chargé comme une bourrique, sous peine de peiner dans les montées et devoir pousser sa monture, mais qui sera récompensé par un bon repas une fois en haut. À la différence du cycliste qui, le nez dans le guidon, ne pense qu’à la performance. Le voyage à vélo interpelle et occasionne souvent de belles rencontres, comme en Serbie où, même s’il n’a rien trouvé de chouette au pays, il a été enchanté par tous les habitants qu’il a croisés. Au travers de ses réflexions sur ses voyages en Amérique du Sud et en Nouvelle-Zélande, l’auteur m’a donné envie de découvrir ses autres livres, que je vais me procurer prochainement et qui sont disponibles sur son site. À tous les amateurs de randonnée à vélo, précipitez-vous sur cet opuscule qu’il est d’ailleurs possible de glisser dans son sac à dos. Pour les autres, cette lecture vous donnera sûrement envie de vous lancer à votre tour. »
Croquignolle, www.babelio.fr, le 15 décembre 2014 :
? Une merveille que ce petit livre m’offrant un espace de liberté et un bol d’air frais bienfaisant et palpitant au cœur de mes journées très chargées. J’ai toujours considéré les cyclovoyageurs comme des fous un peu masochistes. Dorénavant, je tenterai de lire dans leurs yeux et leur sourire le palimpseste coloré de leur aventure terrienne. »
Loïc, www.partir-en-vtt.com, le 9 février 2012 :
? Le Tao du vélo est un petit livre de 96 pages qui explique dans les grandes lignes le bonheur mais aussi les malheurs du cyclovoyageur et l’harmonie qu’il noue avec sa bicyclette. Julien Leblay, de retour de son voyage autour du monde à vélo, écrit ce livre chronologiquement. Du début hésitant, en passant par le mal aux fesses, le retour, tout y passe. Un livre qui se veut l’ambassadeur des voyageurs à vélo. Clairement un appel au départ.
Où et quand l’homme et le vélo ne font-ils plus qu’un et/ou sont-ils une équipe ? Le tao, c’est un peu le synonyme de l’harmonie et, ici, dans son livre, Julien Leblay (auteur que je ne connaissais pas) le retranscrit parfaitement. En effet, l’écriture est simple même si, parfois, elle est parsemée d’un point de philosophie qui jamais ne s’égare. On est tout de même dans le vif du sujet et le livre saura rappeler aux cyclovoyageurs certains passages de leurs aventures.
Je m’y suis personnellement retrouvé à plusieurs moments : mauvais temps, le vent, le mal aux fesses, le bonheur que cela procure, tout y passe le bon comme le moins bon. C’est un livre que l’on dévore en une à deux heures au calme dans un lit ou dans un jardin, qui permet de voyager mais donne aussi envie de repartir. Attention, ce livre est donc contagieux et risque bien de vous faire changer de plan pour vos vacances si le vélo n’était pas au goût du jour. Vous serez prévenu ! Une lecture que je conseille fortement aux amoureux de la bicyclette et à ceux qui cherchent un résumé de ce que peut être un voyage à vélo. »
Jean-Pierre Jacob, pennarbed.over-blog.fr, le 7 novembre 2011 :
? Julien Leblay, victime à 16 ans d’un très grave accident, s’adonne ensuite au vélo pour recouvrer la santé. Ayant été transfusé à plusieurs reprises lors des soins, il décide de pédaler pour sensibiliser ses semblables au don de sang et crée en 2004 l’association “Les Voyageurs au grand cœur”. Quoi de mieux alors qu’un tour du monde pour servir cette noble cause ? Commence une série de cinq périples qui lui feront traverser 25 pays et parcourir 29 000 kilomètres. En 2010, il regagne la route, cette fois-ci avec sa compagne Marion Dumas Cheilletz, en partant d’Auvergne pour une expédition de vingt mois à travers 22 pays et une distance de 27 000 kilomètres. Tout ceci pour dire qu’il ne fait aucun doute que Julien Leblay a toutes les qualifications pour aborder le thème du randonneur au long cours, le “cyclonomade” pour reprendre son expression. Art et philosophie de vie, un penchant confirmé pour l’aventure, comme par exemple ces 500 kilomètres en Bolivie, affrontant la rigueur d’un désert de sable situé entre 4 000 et 5 000 mètres d’altitude, battu par des vents violents et offrant seulement quatre points d’eau sur le parcours, notre homme monté sur un vélo pesant 75 kg car équipé pour une survie en autonomie complète? Quand on pense à la chasse au gramme de certains cyclos du dimanche matin, on reste songeur. Le goût du voyage et de la découverte des pays et de leurs habitants, le dépaysement au contact de cultures différentes de la nôtre, tout cela n’empêche pas le simple plaisir de rouler sur la terre de ses ancêtres et d’y mener de belles causes comme “Un petit tour ‘écologique’ d’une petite semaine qui s’est déroulé sur le Cézallier, magnifique plateau situé en Auvergne”. À ce propos, j’en profite pour dire tout le mépris que j’ai pour un fléau de notre temps : l’automobiliste et ses passagers buveurs de bière qui balancent leurs canettes vides sur la chaussée ! Un court texte qui, s’il ne vous précipitera pas obligatoirement chez votre vélociste pour vous acheter une randonneuse et ainsi visiter le monde, vous fera découvrir le vélo sous un autre jour? à moins bien sûr que vous n’entriez déjà dans la catégorie des cyclonomades. »
Un internaute, www.amazon.fr, le 10 juillet 2010 :
? Voici un petit livre simplement écrit après un retour de voyage au long cours sur une petite reine. Le livre de Julien Leblay porte vraiment bien son titre de Tao du vélo. Il évoquera quelques sentiments déjà ressentis par ceux qui ont entrepris cette expérience de voyage et motivera ceux qui n’ont pas encore franchi le pas. Il manquerait un petit guide sur ce qu’il convient d’emporter ou non sur un itinéraire de ce type mais des éléments de réponse figurent à certaines pages. Peut-être qu’une carte des itinéraires suivis aurait permis de soutenir un peu le discours et de le rendre plus concret, mais ce n’est pas forcément l’objectif que poursuit son auteur. Quoi qu’il en soit, cette méditation sur 89 pages fera le bonheur d’un après-midi d’été sur la plage ou, mieux, dans un hamac pendu entre deux arbres au fond d’un jardin ombragé. »
Pierre Thiesset, pedaleurop.over-blog.com, le 29 juin 2010 :
? Ces “petites méditations cyclopédiques” constituent un éloge du voyage à vélo, court et vivifiant. Dans un style plus apaisé, on y retrouve les pensées saisies lors d’une fameuse échappée belle : le corps à corps avec les éléments, le vent, la pluie, le relief ; l’autonomie et la grande liberté ; la simplicité d’un mode de vie dépourvu de confort ; les rencontres incessantes ; la méditation activée par le moulinage répétitif ; l’effort, la durée, le rapport au temps détaché du zapping quotidien ; le lien intime entre l’homme et la monture de métal ; le danger automobile ; le contact direct avec la nature, les paysages, les odeurs ; la confrontation avec le réel, loin de la société du spectacle et de la consommation? Bref, Julien Leblay décrit à merveille la plénitude ressentie au guidon d’un vélo-baudet. »