Collection « Petite philosophie du voyage »

  • Défis de la course (Les)
  • Écho des bistrots (L’)
  • Quête du naturaliste (La)
  • Instinct de la glisse (L’)
  • Vertiges de la forêt (Les)
  • Voyage en famille (Le)
  • Tao du vélo (Le)
  • Parfum des îles (Le)
  • Appel de la route (L’)
  • Bonheurs de l’aquarelle (Les)
  • Euphorie des cimes (L’)
  • Malices du fil (Les)
  • Ivresse de la marche (L’)
  • Force du silence (La)
  • Secret des pierres (Le)
  • Frénésie du windsurf (La)
  • Prouesses de l’apnée (Les)
  • Vie en cabane (La)
  • Fureur de survivre (La)
  • Art de la trace (L’)
  • Voyage dans l’espace (Le)
  • Ronde des phares (La)
  • Frisson de la moto (Le)
  • Légèreté du parapente (La)
  • Poésie du rail (La)
  • Hymne aux oiseaux (L’)
  • L’Engagement humanitaire
  • Grâce de l’escalade (La)
  • Temps du voyage (Le)
  • Vertu des steppes (La)
  • Facéties du stop (Les)
  • Cantique de l’ours (Le)
  • Esprit du geste (L’)
  • Écriture de l’ailleurs (L’)
  • Rythme de l’âne (Le)
  • Chant des voiles (Le)
  • Liberté du centaure (La)
  • Tour du monde (Le)
  • Fièvre des volcans (La)
  • Extase du plongeur (L’)
  • Tentation du jardin (La)
  • Vie à la campagne (La)
  • Murmure des dunes (Le)
  • Goût de la politesse (Le)
  • Caresse de l’onde (La)
  • Magie des grimoires (La)
  • Audaces du tango (Les)
  • Simplicité du kayak (La)
  • Voyage immobile (Le)
  • Attrait des gouffres (L’)
  • Soif d’images (La)
  • Mémoire de la Terre (La)
  • Enchantement de la rivière (L’)
  • Prodige de l’amitié (Le)
  • Promesse de l’envol (La)
  • Mystères du vin (Les)
  • Religion du jazz (La)
  • Charme des musées (Le)
  • Triomphe du saltimbanque (Le)
  • Sortilèges de l’opéra (Les)
  • Âme de la chanson (L’)
  • Sérénité de l’éveil (La)
  • Arcanes du métro (Les)
Couverture

Luis11, www.amazon.fr, le 11 septembre 2014 :
? Avec La Simplicité du kayak, Fréderic Gilbert signe un essai magnifique sur l’univers du kayakiste. Il nous entraîne sur toutes les côtes du globe qu’il explore depuis plus de vingt ans. Des plages françaises aux atolls du Pacifique, blottis dans le cockpit de son esquif, on navigue en douceur entre terre et mer, émerveillés par l’équilibre des mondes que magnifie avec brio ce funambule du rivage. Â»

Jean-Jacques Fénié, Sud-Ouest/Landes, le 16 octobre 2013 :
? Petite somme d’impressions et même d’intenses émotions, le livre dit tout. Par exemple, le soin nécessaire aux préparatifs pour une randonnée côtière ; à plus forte raison si c’est un périple autour de Minorque, dans le dédale de la côte dalmate ou au large des îles canadiennes de la Madeleine. Le kayakiste de mer – rien à voir bien sûr avec l’amateur qui descend la Leyre – est un marin qui n’est plus d’eau douce, mais ne s’éloigne jamais de la côte. D’où l’obsession des amers, des cartes marines et du trait de côte. Cette ligne normalement fixe sur les cartes (tout dépend de la nature de l’estran, il est vrai) est en fait changeante, au fil des saisons, des marées et de la météo. Les Inuit n’ont-ils pas plusieurs noms parfois pour désigner un même lieu, en hiver, au temps de la débâcle ou quand le solstice éclaire de son jour constant ?
Dans ses pages denses et reposant sur une riche expérience, Frédéric Gilbert sait aussi décrire l’intimité d’une ria, le secret d’un chenal, la beauté des îles Chausey et les sensations que donnent lames dangereuses ou écume aveuglante ; ou bien la faune qui accompagne ou surprend le navigateur (dauphins, phoques?).
Parfois il rêve, bien sûr, d’être un Esquimau partant pour une longue traque dans les solitudes arctiques. Mais il a un grand respect de l’environnement menacé, hélas, par le tourisme et la densification littorale. Aussi, le kayakiste de mer, recommande notre maître-pagayeur, se doit-il d’avoir l’attitude
“leave no trace” au bivouac : ne rien laisser, par respect de la nature et d’autrui. Le chemin de la grande évasion réclame le plus strict savoir-vivre. Un délicieux ouvrage qui donne envie de prendre le large. Â»

Marc Debeer, www.fleuves-et-canaux.net, le 1er septembre 2013 :
? La vie en rose au fil des eaux bleues?
La manière et l’art, ou quand conjuguer art de vivre et art de la navigation, ce que fait à merveille Frédéric Gilbert à travers ce petit récit en forme de traité de philosophie sur le voyage au ras des ondes.
Une jolie et fine manière d’aborder les choses de la vie à coups de pagaie, un cheminement intérieur que l’on développe au cours des navigations où chacun est livré à lui-même, à bord de son frêle esquif, une pratique sportive et intellectuelle qui développe un sens de l’observation et dévoile ce que nous avons de plus profond en nous?
Livre étonnant de par son contenu, qui nous fera découvrir des ressources internes insoupçonnées ou enfouies dans le gris de notre routine quotidienne, une jolie façon de se remettre en question. Â»


Benoît Heimermann, L’Équipe Magazine n° 1620, le 3 août 2013 :
? C’est à “la simplicité du kayak” que Frédéric Gilbert, grand pratiquant devant l’Éternel, nous invite. Une manière de philosophie tricotée au plus près des côtes qui suppose que “la mer n’a de sens que si elle restitue, métamorphosés, ses enfants à la terre”. Â»

Jacques Hazera, www.pijouls.com/blog/jacques-hazera, le 20 juin 2013 :
? Un petit livre qui ressemble à son auteur, tout de délicatesse et de discrétion, un livre humble, intime, tout en pudeur, qui craint de déranger le lecteur? Mais un livre à la grande âme, plein d’une sagesse et d’une paix qu’on aimerait croiser souvent. Ce n’est pas un livre, c’est une caresse, et au bout de cette caresse on touche enfin aux rivages de l’humilité. Puisse un jour un forestier écrire pareillement au sujet des forêts, proposant l’humilité comme ultime ambition ! Â»

Alexis Loireau, Carnets d’aventures n° 32, juin-août 2013 :
? Après des opus réussis sur le voyage à pied, à vélo, à cheval et en canoë, il manquait un titre à la collection “Petite philosophie du voyage” de Transboréal : l’itinérance en kayak de mer évidemment ! L’auteur, Frédéric Gilbert, plonge sa pagaie depuis plus de trente ans dans toutes les eaux du monde. Avec amour et expérience, il décortique tous les aspects de la pratique du kayak et explique d’où vient le plaisir, comment naît la passion. Le lecteur glisse sans effort au fil des pages : il sent l’iode et le varech, il entend le clapotis des vagues, il embrasse l’horizon du regard, il observe cette petite crique au loin où il dormira au soir et, bientôt, c’est sûr, la tête dans les étoiles, il rêvera de son prochain voyage en kayak? Â»

Patrice de Ravel, Canoë-Kayak Magazine n° 230, juin 2013 :
? Après La Caresse de l’onde, qui traite du canoë, il était naturel que la jolie collection “Petite philosophie du voyage” proposât un titre sur le kayak. Le voici donc. C’est Frédéric Gilbert, kayakiste arcachonnais mais amoureux de toutes les mers, qui nous présente sa vision.
Le kayak se distingue des autres bateaux qui vont en mer parce qu’il peut se glisser partout. La proximité avec le littoral procure au kayakiste des sensations originales nées de cette conjoncture terre-eau. Le trait de côte est ainsi vu comme un espace particulier et non seulement une limite, voire un danger. Et, même s’il s’en éloigne de temps à autre pour traverser une baie ou se diriger vers une île, le kayakiste “reste solidaire de la frange terrestre”. Le petit livre de Frédéric Gilbert fourmille d’anecdotes et de choses vues. L’expérience parle.
Il décortique tout ce qui ait le charme, les joies et les contraintes du kayak en mer. Son exiguïté, sa propension à être sensible à toute contrainte météo, mais aussi sa capacité à affronter presque toutes les mers, à convoyer en sécurité son équipage aussi réduit soit-il, à fréquenter des lieux ignorés ou inaccessibles, à ne pas effrayer les habitants à plumes, poil ou écailles.
Il montre que cette embarcation monoplace est paradoxalement un engin sociable qui se plaît en groupe. Et il relève un autre paradoxe, celui de l’autonomie : le kayak est un tout petit navire sans cale mais qui trouve sa véritable dimension dans l’itinérance sur plusieurs jours ; caissons pleins à ras trappes. Le plaisir d’aborder, d’occuper, puis de quitter le lendemain un lieu est, chez Frédéric Gilbert, communicatif.
La Simplicité du kayak est un texte attachant dont on parie qu’il saura convaincre le lecteur néophyte de l’urgence d’un embarquement “à même la mer”, selon l’expression de Karin Huet. Â»

Philippe Mora, chapu.canalblog.com, le 30 mai 2013 :
? Merci à Frédéric Gilbert pour son témoignage. C’est un livre original, très bien écrit. On est transporté sur les flots près de la côte, les émotions ne manquent pas, les détails techniques aident à comprendre les évolutions, les parcours. Cette activité, bien que guère demandeuse en matériel et en énergie et relativement sûre, demeure peu pratiquée alors que les découvertes qu’elle permet sont étonnantes. Chaque sortie est en soi un petit exploit, pour s’organiser de façon autonome, pour franchir la vague de départ, pour tenir un cap correct et de préférence en glissant de façon agréable? Ce petit livre me donne envie de pratiquer le kayak de mer ! Â»

Nadine Stevens, La Dépêche du Bassin, le 23 mai 2013 :
? Lire le livre de Frédéric Gilbert, que l’on soit un “animal” marin ou terrestre, revient à se plonger dans l’univers fluide et mouvant, lent et silencieux, des côtes du monde entier. Un vrai voyage au ras de l’eau [?] Expérience de sa vie, histoire de sa passion, démonstration de la facilité d’accès du frêle kayak, modestie devant l’immensité de l’océan, questionnement perpétuel, ce petit livre didactique se dévore en une fois et plonge le lecteur, même non marin, dans un monde fascinant en évolution constante. Â»

Bruno Julien, www.kayak-univers.com, le 30 avril 2013 :
? Ce n’est pas un topoguide, ni même un récit ou un manuel technique. Sa forme littéraire, tel un pas de côté sur la pratique du kayak en mer, démontre le privilège de cette embarcation pour vivre avec délicatesse le monde fluide du littoral. C’est la raison pour laquelle il s’adresse aux personnes aimant le monde marin et/ou aux amoureux du plein air et sensibles aux voyages. Â»

Patrice de Ravel, www.canotier.com, le 29 avril 2013 :
La Simplicité du kayak, qui vient de paraître, est un hommage au kayak, à sa faculté à se glisser partout et à découvrir un espace particulier, interdit aux autres marins : le trait de côte.
Texte attachant, cet éloge du kayak explore les qualités du bateau à tricoter un itinéraire – le jour sur l’eau, la nuit à terre –, le long du littoral. Alimenté de souvenirs, qui sont autant d’exemples, il brosse un délicat portrait du kayak de mer dans lequel chacun se reconnaîtra en globalité : pagayeur, bateau et lieux fréquentés.
S’il était besoin de convaincre quelqu’un des extraordinaires qualités du kayak, ce petit livre en fournirait tous les arguments dans un vibrant plaidoyer. Publié dans la jolie collection “Petite philosophie du voyage” à qui l’on doit déjà
La Caresse de l’onde.
À lire sans modération. Â»

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