Collection « Petite philosophie du voyage »

  • Défis de la course (Les)
  • Écho des bistrots (L’)
  • Quête du naturaliste (La)
  • Instinct de la glisse (L’)
  • Vertiges de la forêt (Les)
  • Voyage en famille (Le)
  • Tao du vélo (Le)
  • Parfum des îles (Le)
  • Appel de la route (L’)
  • Bonheurs de l’aquarelle (Les)
  • Euphorie des cimes (L’)
  • Malices du fil (Les)
  • Ivresse de la marche (L’)
  • Force du silence (La)
  • Secret des pierres (Le)
  • Frénésie du windsurf (La)
  • Prouesses de l’apnée (Les)
  • Vie en cabane (La)
  • Fureur de survivre (La)
  • Art de la trace (L’)
  • Voyage dans l’espace (Le)
  • Ronde des phares (La)
  • Frisson de la moto (Le)
  • Légèreté du parapente (La)
  • Poésie du rail (La)
  • Hymne aux oiseaux (L’)
  • L’Engagement humanitaire
  • Grâce de l’escalade (La)
  • Temps du voyage (Le)
  • Vertu des steppes (La)
  • Facéties du stop (Les)
  • Cantique de l’ours (Le)
  • Esprit du geste (L’)
  • Écriture de l’ailleurs (L’)
  • Rythme de l’âne (Le)
  • Chant des voiles (Le)
  • Liberté du centaure (La)
  • Tour du monde (Le)
  • Fièvre des volcans (La)
  • Extase du plongeur (L’)
  • Tentation du jardin (La)
  • Vie à la campagne (La)
  • Murmure des dunes (Le)
  • Goût de la politesse (Le)
  • Caresse de l’onde (La)
  • Magie des grimoires (La)
  • Audaces du tango (Les)
  • Simplicité du kayak (La)
  • Voyage immobile (Le)
  • Attrait des gouffres (L’)
  • Soif d’images (La)
  • Mémoire de la Terre (La)
  • Enchantement de la rivière (L’)
  • Prodige de l’amitié (Le)
  • Promesse de l’envol (La)
  • Mystères du vin (Les)
  • Religion du jazz (La)
  • Charme des musées (Le)
  • Triomphe du saltimbanque (Le)
  • Sortilèges de l’opéra (Les)
  • Âme de la chanson (L’)
  • Sérénité de l’éveil (La)
  • Arcanes du métro (Les)
Couverture

Jacques Larousse, lecteur, le 26 février 2016 :
? Monsieur,
J’ai été bouleversé par la lecture de votre livre
La Soif d’images. Je n’avais pas ressenti une telle émotion depuis la lecture des Propos d’Alain. Fraîcheur et profondeur, pays de lait et de miel. Et vous êtes entré par la grande porte dans le Guinness de mon recueil de citations à côté de Shakespeare et de Jules Renard? “Mon appareil me dit toujours où aller.” Le photographe Bruno Paccard de Lyon m’avait aussi très gentiment parlé du “regard” et m’avait mis sur la voie.
Depuis septembre, la photographie, cet amour de jeunesse, m’a saisi de nouveau. Je ne sais pourquoi. Peut-être mon côté cardiaque invalide de 54 ans avec encore une famille à charge, une recherche de sens et de beau dans un monde aux accents parfois terribles et aux formatages variés. Armé d’un petit Lumix LX100, de “photo poche” en pagaille, d’une errance de monsieur Depardon et d’une citrouille amère, je vais aller me poster aux carrefours de ma ville puisque tout est là et que mon corps ne voudra pas aller plus loin. Vive les bancs de la société et sus aux moulins à vent !
Merci donc pour cette ouverture béante que vos lignes ont faite dans mon cœur.
Cordialement. Â»


Merope51, www.amazon.fr, le 12 octobre 2015 :
? Livre excellent en tous points. L’écriture éclaire le récit sur le parcours du photographe et son rapport à la photographie. Cet opuscule a bien sa place dans cette collection “Petite philosophie du voyage”, car l’auteur réfléchit à la fois à son métier de photographe, à la photographie et à son évolution personnelle liée à l’exercice de ce métier. C’est passionnant du début à la fin, et cela nous renvoie à nous-mêmes. Â»

Keisha, enlisantenvoyageant.blogspot.be, le 12 octobre 2012 :
? L’auteur parle évidemment de son métier, de ses méthodes, et de son évolution. Rien de technique, mais beaucoup de sensibilité. Je choisirai deux mots, regard et lumière ; la vue qui paraîtrait le seul sens en jeu, doit pourtant être associée au corps entier, ouïe, odorat, sensation de chaleur. Â»

Minou, minoualu.blogspot.be, le 7 juillet 2012 :
? Je manque peut-être d’esprit critique vis-à-vis de cette collection de Transboréal, mais ma lecture fut un nouvel enchantement durant lequel je me suis laissée porter par les mots de Matthieu Raffard. Tout en produisant un texte très personnel, à partir de sa propre expérience, il semble inviter le lecteur par moments, fait appel aux mots d’autres photographes (c’est une attitude et une ouverture à l’autre que j’ai particulièrement appréciée, tout à fait en accord avec son discours) et construit véritablement une “Petite philosophie du voyage” et de la photographie. Il lie très fortement ces deux composantes du début à la fin de son récit, les faisant participer au même apprentissage du regard : “Ce que je sais de la photographie, je l’ai compris patiemment, image après image, au cours de mes voyages. [?] Comme une région que l’on connaîtrait plutôt par ses chemins que par ses cartes, j’ai appris à suivre certains itinéraires de pensée où se rejoignent dans la photographie la lumière et la géographie, le cadrage et le langage, l’autre et soi, l’instant et la durée? Chacun de ces chemins a commencé par une expérience concrète, une anecdote, une compréhension soudaine, qui aboutirent toujours à la même question : comment regarder ce que l’on voit ?” (p. 15-16).
Si Matthieu Raffard ne livre pas la réponse à cette question, il propose en revanche son propre parcours pour y parvenir, ainsi que des réflexions sur ce chemin autant physique qu’intérieur. J’ai eu la sensation en lisant ce témoignage d’assister à un cours – ou plutôt au récit d’une initiation – de photographie : non de ses techniques, aisément accessibles aujourd’hui comme il le mentionne brièvement, mais de l’esprit et du regard d’un photographe. Il se sert pour cela, comme je l’ai écrit plus haut, d’anecdotes personnelles, mais beaucoup moins que d’autres auteurs dans cette collection, ce qui donne un ton plus théorique à son texte, mais absolument pas docte ou pompeux pour autant. Au contraire, la passion et son envie de la partager, tout en sachant que son lectorat n’est pas forcément professionnel comme lui, transparaît tout au long de ce petit livre.
Un nouveau coup de cœur pour moi dans cette collection qui comble toutes mes espérances jusqu’à présent et la découverte d’un photographe passionné dont j’ai très envie d’admirer le travail. Â»


Un internaute, www.amazon.com, le 4 avril 2010 :
? Cet ouvrage est un véritable bijou d’intelligence et de sensibilité que devraient lire tous les photographes. Â»

Géraldine Schmitt, lectrice, le 22 février 2010 :
? Tout comme le traité d’Émeric Fisset, lu il y a tout juste un an, votre livre, à l’instant terminé, a ce formidable effet d’être un révélateur de ma propre quête. Il met en mot ce que je n’avais pas encore réussi à formuler sur les raisons qui conduisent à vouloir réaliser des images lors de mes voyages à pied – en marge des simples photos souvenir. Touchée par votre expérience, souvent convaincue par vos arguments, vous avez ouvert en moi des chemins de réflexion. À l’heure où je m’interroge sur l’utilisation d’un appareil reflex – qui vient de m’être offert de façon inattendue –, vos révélations donnent un sens à l’acte photographique ; un acte dans lequel je suis en train de me reconnaître. Par conséquent merci d’avoir, loin de la leçon de photo, écrit ce petit bijou philosophique. Bien à vous. Â»

La rédaction, Trek Magazine n° 122, février-mars 2010 :
? Un petit texte ciselé, dans la pure lignée de la collection “Petite philosophie du voyage” chez Transboréal. Un itinéraire en pensées et en pays. Des mots sensibles sur une pratique aussi “bête” que “complexe” : Matthieu Raffard, photographe, illustrateur et auteur, nous a remis à l’aise – poétiquement – avec nos propres soifs d’espace(s). Esquissée dans notre dernier numéro, cette idée que le regard et la pratique de la photo devaient infiniment à nos cultures est portée à bout de texte dans cet opuscule? magnifique. Â»

Marc Charbonnier, fotoforom.free.fr, le 7 janvier 2010 :
La Soif d’images se lit très vite? Pas parce qu’il manque d’intérêt mais justement parce qu’il est passionnant ! Difficile de décrocher? Matthieu Raffard nous emmène dans une belle réflexion sur la photographie et le voyage, sur la photographie comme support du voyage? À moins que ce ne soit l’inverse ?
“Voyager permet à l’amateur de photographie d’être à l’affût de cette réalité de la lumière. Grâce aux jours d’isolement, loin de vos repères familiers, débarrassé de vos habitudes, vous redevenez un observateur conscient, presque un pur œil, quelqu’un qui utilise l’ensemble de ses facultés et non pas seulement son regard pour comprendre ce qui l’entoure. Après plusieurs jours de voyage, votre corps tout entier commence à ressentir la lumière.”
Lorsque le lecteur ouvre le livre, sa première question est : où sont les photos ? Un livre qui parle de photo sans photographies ? Même la couverture est illustrée avec une image de chez Corbis (la boîte qui a racheté Sygma?) et non par une des photographies de l’auteur. On regrette un peu? mais pas longtemps. L’écriture est belle, simple, franche. Matthieu Raffard nous offre un essai ancré dans la vie. Ses réflexions sont illustrées par ses expériences photographiques et on sent que sa photographie, au quotidien, est magnifiée par sa réflexion. Certes on attend parfois une fin de chapitre pour mieux repartir mais non, l’auteur a choisi d’être lu d’un trait. Heureusement, la lecture est aisée, Matthieu passe d’une idée à la suivante comme d’une photo à une autre : chaque idée est différente mais possède un lien avec la précédente. L’auteur évoque ainsi tout l’art de la photographie : la lumière surtout mais aussi les couleurs, les ambiances, les émotions? La photographie mais aussi le voyage, support de son art. Matthieu est un voyageur ET un photographe. Ces deux activités sont intimement liées et ne peuvent exister l’une sans l’autre.
Mon passage préféré ? Lorsque Matthieu explique qu’il ne prend plus de billet aller-retour pour ses voyages : il rentre lorsqu’il a fait le plein d’images et de souvenirs.
“Le temps de mon voyage se calque sur mon désir photographique, il devient la colonne vertébrale d’un parcours qui n’en avait plus et m’évite de me perdre dans une hasardeuse déambulation.”
Un petit mot sur la maison d’édition Transboréal qui édite le livre. Elle publie uniquement des livres d’auteurs, illustrateurs et photographes “ayant fait preuve d’abnégation et de courage lors d’études ou de voyages au long cours marqués par une réelle connivence avec le milieu humain ou le monde naturel”. Cette ligne éditoriale est vraiment originale et à ma connaissance inédite? Cela donne envie de lire toute la collection.
J’ai vivement apprécié ce livre et je le conseille à tous les photographes qui veulent prendre le temps de réfléchir un peu sur cet art qui nous passionne tant. Matthieu Raffard est un talentueux écrivain doublé d’un photographe de haut niveau. Je vous invite à faire un tour sur son site personnel pour admirer ses images. À la façon d’un Depardon, il témoigne à merveille de l’homme dans son environnement. Â»

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