Collection « Petite philosophie du voyage »

  • Défis de la course (Les)
  • Écho des bistrots (L’)
  • Quête du naturaliste (La)
  • Instinct de la glisse (L’)
  • Vertiges de la forêt (Les)
  • Voyage en famille (Le)
  • Tao du vélo (Le)
  • Parfum des îles (Le)
  • Appel de la route (L’)
  • Bonheurs de l’aquarelle (Les)
  • Euphorie des cimes (L’)
  • Malices du fil (Les)
  • Ivresse de la marche (L’)
  • Force du silence (La)
  • Secret des pierres (Le)
  • Frénésie du windsurf (La)
  • Prouesses de l’apnée (Les)
  • Vie en cabane (La)
  • Fureur de survivre (La)
  • Art de la trace (L’)
  • Voyage dans l’espace (Le)
  • Ronde des phares (La)
  • Frisson de la moto (Le)
  • Légèreté du parapente (La)
  • Poésie du rail (La)
  • Hymne aux oiseaux (L’)
  • L’Engagement humanitaire
  • Grâce de l’escalade (La)
  • Temps du voyage (Le)
  • Vertu des steppes (La)
  • Facéties du stop (Les)
  • Cantique de l’ours (Le)
  • Esprit du geste (L’)
  • Écriture de l’ailleurs (L’)
  • Rythme de l’âne (Le)
  • Chant des voiles (Le)
  • Liberté du centaure (La)
  • Tour du monde (Le)
  • Fièvre des volcans (La)
  • Extase du plongeur (L’)
  • Tentation du jardin (La)
  • Vie à la campagne (La)
  • Murmure des dunes (Le)
  • Goût de la politesse (Le)
  • Caresse de l’onde (La)
  • Magie des grimoires (La)
  • Audaces du tango (Les)
  • Simplicité du kayak (La)
  • Voyage immobile (Le)
  • Attrait des gouffres (L’)
  • Soif d’images (La)
  • Mémoire de la Terre (La)
  • Enchantement de la rivière (L’)
  • Prodige de l’amitié (Le)
  • Promesse de l’envol (La)
  • Mystères du vin (Les)
  • Religion du jazz (La)
  • Charme des musées (Le)
  • Triomphe du saltimbanque (Le)
  • Sortilèges de l’opéra (Les)
  • Âme de la chanson (L’)
  • Sérénité de l’éveil (La)
  • Arcanes du métro (Les)
Couverture

Daniel Jean, www.babelio.com, le 23 septembre 2017 :
« Une œuvre d’un souffle rafraîchissant de la part d’un des plus illustres élèves occidentaux de maître Masaaki Hatsumi : Arnaud Coursergue.
S’il devait être un voyageur, il serait celui qui gravit les montagnes pour offrir sa compréhension du ninjutsu, ses expériences humaines à travers le monde et sa sympathie à ceux qui souhaitent l’écouter, et le lire ; ici, vous avez l’occasion de le lire comme il vous parlerait, avec amitié et un grand sourire. »


Emmanuel M., www.amazon.fr, le 21 novembre 2014 :
« J’ai lu ce livre d’une traite car j’avais envie de découvrir l’ensemble de ce témoignage martial. Il est vrai aussi que cet ouvrage comporte peu de pages, mais la qualité est au rendez-vous, ainsi que certaines anecdotes personnelles qui m’ont permis de mieux appréhender la relation de maître à disciple au sein des arts martiaux. L’auteur aborde donc le fruit de son parcours, ainsi que les grands principes de progression au sein du Bujinkan (ensemble de neuf anciennes écoles d’arts martiaux japonaises transmis par Masaaki Hatsumi, dont certaines de ninjutsu) et les différents éléments constituant la stratégie martiale pour préserver sa vie. C’est fort intéressant. Ce texte montre également que le ninjutsu s’est adapté à notre temps. À découvrir. »

Un internaute, www.amazon.fr, le 11 juillet 2011 :
« Une œuvre d’un souffle rafraîchissant de la part d’un des plus illustres élèves occidentaux de maître Masaaki Hatsumi : Arnaud Cousergue. S’il devait être un voyageur, il serait celui qui gravit les montagnes pour offrir sa compréhension du ninjutsu, ses expériences humaines à travers le monde et sa sympathie, à ceux qui souhaitent l’écouter, et le lire ; ici, vous avez l’occasion de le lire comme il vous parlerait, avec amitié et un grand sourire. En France, Il y a une référence en terme de ninjutsu, c’est monsieur Cousergue, élève direct de maître Hatsumi qu’il rejoint plusieurs fois l’an au Hombu Dojo au Japon, pour continuellement mettre à jour ses connaissances. Ce livre est un must have pour qui veut appréhender le ninjutsu et le budo à travers les yeux d’un maître de l’art martial nommé Ninjutsu (Budo Taijutsu) du Bujinkan. »

Un internaute, www.fnac.com, le 22 décembre 2010 :
« Pour commencer à aller au-delà de la pratique, avec des mots simples. ce que peut être le budô pour un Occidental. »

Un internaute, www.amazon.fr, le 5 octobre 2010 :
« Intéressant… pour le prix et pour ses réflexions… Même si l’auteur oppose de façon simpliste les arts martiaux modernes (gendai budo) et leur évolution sportive, avec les arts martiaux traditionnels (kôryû bujutsu) et leur évolution culturelle, ce livre sera le début de débats familiaux, de réflexions à propos des arts martiaux en général… L’auteur mériterait tout à fait sa place à l’IFPAM. Des détails comme par exemple à la p. 43, où est mentionné que “l’erreur au Japon est formatrice” (comme dans les salles d’entraînement), nous indique qu’il n’y est qu’un voyageur, car se tromper au Japon lors de ses déplacements est très onéreux… Une analyse décidément orientale et manichéenne d’un pays qui vit et pense avec d’autres codes que l’Occident, si tant est que l’enseignement du sensei japonais (dont il est question dans cet ouvrage) soit le reflet des authentiques traditions nippones… Néanmoins, vu son format, il est aisément transportable n’importe où, et avec un prix de 8 euros, même les plus démunis peuvent y avoir accès ! Pour ma part, je le conseillerai donc dans toutes les bibliothèques des pratiquants d’arts martiaux français, car si Hatsumi a bien un disciple en France, c’est assurément Arnaud Cousergue ! »

Le blog d’Ötli, le 15 juin 2009 :
« Shikin haramitsu daikômyô. “Dans chaque chose que nous faisons il y a un enseignement à tirer.” C’est ainsi que commencent et finissent les séances d’entraînement au dojo. C’est ainsi aussi que débute le livre d’Arnaud Cousergue, L’Esprit du geste. De fait, il faudrait citer l’ouvrage dans son intégralité tant il porte en lui de l’essence des arts martiaux et de la sagesse. Je ne résiste d’ailleurs pas à le citer encore : “La maîtrise du mouvement n’était pas le but de la pratique martiale mais un simple intermédiaire pédagogique permettant de s’ouvrir à des choses plus essentielles. Car l’art martial n’est pas qu’une suite complexe de coups, de projections et de torsions. C’est une école de vie, dont l’enseignement est très proche à certains égards de celui d’une religion. Le budô, conçu comme tel, est un outil de développement extraordinaire qui peut transcender l’humain et l’amener à un niveau supérieur.”
Des précisions sur la nature des arts martiaux à travers les âges, sur l’aspect purement sportif retenu par certainsu aujourd’hui… seront offertes au lecteur. Je lui laisse le soin de découvrir toutes les notions inhérentes au sujet abordées au fil des pages : “l’étrangeté” du (ou au) Japon, l’erreur, le combat, le temps qu’il fait, la chance, la sincérité, le vide, le sens, le chaos, “la progression du geste à l’esprit du geste”, “jusqu’à ne rien faire et que rien ne soit fait”… pour “survivre tout en restant opérationnel” et “rester bien vivant”.
Comme nous l’indique l’auteur, tentons d’allier les modes de pensée occidental – fondés sur le “Je pense donc je suis” – et oriental, où “De l’action naît la réflexion”. Nous aurons fait alors un premier pas (celui qui coûte le plus ?) pour découvrir que dans toutes les sagesses l’on cherche ce “quelque chose d’indéfinissable” et que l’on peut ne pas le faire seul, mais avec un
senseï, un professeur, qui montre le chemin qu’il nous faudra toutefois arpenter par nous-mêmes ! »

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