Collection « Nature nomade »

  • Sagesse de l’herbe
  • Adieu Goulsary
  • Avec les ours
  • Bergère
  • Initiation (L’)
  • Un hiver de coyote
Couverture

Nathalie Glorion, www.lespassionsdechinouk.com, le 29 novembre 2021 :
« Avec Un hiver de coyote, Marie-Lazarine Poulle relate son expérience en tant que jeune biologiste qui rejoint une équipe de techniciens pour étudier la prédation des coyotes en Gaspésie. Fraîchement, diplômée, elle débarque dans une équipe de rustres québécois qui n’ont pas l’air d’apprécier sa venue, surtout Laurier, le trappeur qu’elle va devoir seconder. Il faut dire que, d’après lui, elle cumule les “tares”, non seulement c’est une femme, c’est une biologiste et en plus une Française de France ! Franchement, elle n’a rien pour elle cette pauvre fille ! Peu à peu, Marie va tenter de faire sa place dans ce duo et de se faire accepter auprès de Laurier.
Ce petit livre de Marie-Lazarine est un régal : dès les premières pages, on part à l’aventure et l’on se retrouve en immersion avec l’autrice dans sa découverte du Nord. On en apprend plus sur sa mission qui est de retrouver les traces et excréments des coyotes, et tout répertorier pour analyser leur comportement vis-à-vis des cerfs dont ils sont les prédateurs.
J’ai été admirative de son courage et de sa persévérance, car pour mener à bien sa mission elle doit séjourner dans une cabane perdue au milieu de la forêt dans la baie des Chaleurs avec, pour seule compagnie, son collègue Laurier. Imaginez être obligée de faire équipe avec quelqu’un qui ne veut pas de vous, qui trouve que vous n’avez rien à faire là, car vous ne servez à rien : franchement cela ne doit vraiment pas être facile. D’autant plus quand on est isolée, au fin fond de nulle part, avec lui. J’ai beaucoup aimé l’écriture de l’autrice, j’ai dévoré ce petit livre d’une traite.
Alors, si vous avez envie d’air pur, de nature sauvage, de côtoyer un rustre trappeur, et si vous vous demander comment l’autrice s’en est sortie, je vous recommence fortement ce petit livre. Dépaysement garanti ! »


Sophie Malandrin, lectrice, le 4 mai 2021 :
« Je m’attendais à un récit épique et cocasse d’aventures en milieu hostile et glacial et j’ai découvert une histoire d’amour racontée avec sensibilité, sans complaisance, dans un style juste parfait. Le récit se déguste et pourtant se dévore. Il m’a semblé, tant c’est réel, être là-bas. »

Anne Bousquet, lectrice, le 24 avril 2021 :
« Quelle belle surprise que ce livre, broché, relié, belle couverture, les petites empreintes, belle finition. Je l’ai relu avec plaisir même si je me rappelais du déroulé de l’histoire. Connaissant le parler québécois, je souris toute seule en “entendant” dans ma tête leur sacré accent. »

Macha Serdetchny, lectrice, le 20 avril 2021 :
« Aspect extérieur très réussi, jolie illustration à la Samivel, format original, caractères bien choisis, bonne lisibilité, et très jolies images d’empreintes séparant les chapitres. Écriture à la fois spontanée, marrante et sérieuse. On se croirait sur le terrain dans la neige, avec les bien nommées épinettes, les engins plus ou moins défaillants, la glace bleue et les grandes brutes collectant des fémurs… Le français canadien bien transcrit participe à l’atmosphère très vivante. Au-delà, on comprend bien que l’héroïne en bave, et pas seulement physiquement, et que sa sensibilité s’aguerrit dans cette extraordinaire expérience. Les quatre dernières lignes me paraissent quand même un peu cliché mais bon. Au total ce livre est vraiment sympa, à lire bien au chaud avec un bon café à portée de main. »

Sophie Chevriaux, lectrice, le 15 avril 2021 :
« Je viens de finir Un hiver de coyote après avoir avalé le prologue avec gourmandise. J’ai aimé ce récit passionnant. Les descriptions de paysages et de personnages sont magnifiques et l’intériorité de l’auteure partagée généreusement. C’était généreux et joyeux. J’ai souri et été émue. J’ai voyagé et eu froid sur le skidoo. Je suis tombée en amour de ce Laurier et j’ai entendu l’accent canadien, j’ai découvert l’univers des coyotes. »

Aurélie Bigot-Clivot, lectrice, le 11 avril 2021 :
« J’aime m’évader dans la lecture, oublier les petits et grands soucis. J’ai vécu cela grâce à Un hiver de coyote qui m’a immergée dans cette nature fabuleuse de la baie des Chaleurs. J’ai ressenti le froid, la tension palpable des protagonistes, et même un peu de colère face à cet ours mal léché dénommé Laurier. Et aussi de l’émerveillement devant cette nature brute. J’ai partagé l’émotion et la fascination de Marie devant le feu réalisé sur la glace et je jurerai même avoir senti la chaleur qui en émanait ! J’ai aussi ri de l’imaginer sautiller et hurler avec fracas après s’être fait asperger les cuisses par du café brûlant. Je l’ai encouragée silencieusement lorsqu’elle devait faire face aux difficiles conditions de terrain, et quelle fierté lorsque la Française de France a réussi à dompter sa maudite motoneige et à se montrer plus qu’à la hauteur des attentes du trappeur. Et que dire de la fin… inattendue et captivante ! Merci pour ce beau moment d’évasion. »

© Transboréal : tous droits réservés, 2006-2024. Mentions légales.
Ce site, constamment enrichi par Émeric Fisset, développé par Pierre-Marie Aubertel,
a bénéficié du concours du Centre national du livre et du ministère de la Culture et de la Communication.