Collection « Voyage en poche »
François et Éliane Fouliard, lecteurs, le 3 septembre 2017 :
? Merci de nous avoir permis de découvrir le Laos à travers la lecture de Nostalgie du Mékong. Nous avons particulièrement saisi le caractère précaire mais aussi très enrichissant de la vie d’une enseignante française, toute jeune mère de famille devant s’adapter à des conditions totalement nouvelles. Le grand intérêt de l’ouvrage réside aussi dans la description des lieux parcourus et des paysages dépeints avec beaucoup de poésie. Ce livre revêt également un caractère documentaire qui nous permet d’appréhender aussi bien les rites et coutumes du Laos que le mode de vie quotidien des habitants confrontés à une période très mouvementée de cette région d’Asie à cette époque. Nous avons beaucoup appris sur le Laos dont nous n’avions que des images très vagues, mais nous avons aussi craint pour la vie de cette famille et mesuré son courage. »
Christiane Urien, lectrice, le 2 septembre 2017 :
? Marie-Claire Jacq a une façon de décrire les paysages, le ciel et ses nuages, les étals de marché avec leurs fruits et légumes, que l’on est transporté dans une autre univers. Une vraie poésie. »
Didier Sicard, auteur, le 19 juillet 2017 :
? Nous avons lu, “dévoré”, avec plaisir votre livre Nostalgie du Mékong. L’écriture en est belle, restituant parfaitement cette atmosphère si particulière du Laos de ce temps. Nous-mêmes avons passé quatre années, de 1974 à 1978, dans ce pays que nous avons passionnément aimé malgré les années de guerre. Nous retrouvons dans vos pages nos propres sentiments éprouvés avec nos trois petits qui avaient entre 4 ans et 12 mois. »
Marie-Paule Daniel-Siohen, lectrice, le 27 juin 2017 :
? C’est un livre qui nous emporte dans un pays où vont s’incarner l’espace familial, la langue, le fleuve et les territoires où l’auteur a vécu et où sa famille s’est construite. L’arrière-plan historique, les multiples couleurs de la vie quotidienne, les destins personnels s’animent et nous ouvrent un profond désir de voyage. Poésie du texte et envie de Mékong. »
