Un voyage ferroviaire mouvementé :
« Les voyages dans l’Himalaya sont, bien entendu, plein d’aléas et il y a de nombreux obstacles à surmonter : la brièveté de la saison durant laquelle les expéditions sont possibles, l’incertitude de la mousson, les dangers liés aux glissements de terrain, le choléra endémique et autres maladies des basses vallées, les sangsues et les insectes nuisibles, la chaleur et le froid extrêmes, l’altitude, les superstitions locales et la difficulté qui en découle pour obtenir l’aide des indigènes.
En ce qui concerne la Nanda Devi, une énorme difficulté vient s’ajouter : le sommet est encerclé par un amphithéâtre probablement unique. Pour quiconque n’ayant pas visité ces contrées, il est difficile de se faire une idée précise d’un rempart aussi gigantesque, atteignant par endroits une altitude de 7 000 mètres, encerclant un petit territoire lui-même à peine au-dessus de la limite de la végétation, au centre duquel s’élève une montagne culminant à 7 816 mètres. Il n’est pas étonnant que cet impressionnant cercle de montagnes de 115 kilomètres de circonférence ait repoussé toutes les tentatives et que le sanctuaire du bassin intérieur soit demeuré inviolé. »
Le sanctuaire caché (p. 66-68)
Le sanctuaire caché (p. 156-158)
La seconde expédition au pied de la Nanda Devi (p. 275-276)
« Les voyages dans l’Himalaya sont, bien entendu, plein d’aléas et il y a de nombreux obstacles à surmonter : la brièveté de la saison durant laquelle les expéditions sont possibles, l’incertitude de la mousson, les dangers liés aux glissements de terrain, le choléra endémique et autres maladies des basses vallées, les sangsues et les insectes nuisibles, la chaleur et le froid extrêmes, l’altitude, les superstitions locales et la difficulté qui en découle pour obtenir l’aide des indigènes.
En ce qui concerne la Nanda Devi, une énorme difficulté vient s’ajouter : le sommet est encerclé par un amphithéâtre probablement unique. Pour quiconque n’ayant pas visité ces contrées, il est difficile de se faire une idée précise d’un rempart aussi gigantesque, atteignant par endroits une altitude de 7 000 mètres, encerclant un petit territoire lui-même à peine au-dessus de la limite de la végétation, au centre duquel s’élève une montagne culminant à 7 816 mètres. Il n’est pas étonnant que cet impressionnant cercle de montagnes de 115 kilomètres de circonférence ait repoussé toutes les tentatives et que le sanctuaire du bassin intérieur soit demeuré inviolé. »
(p. 33-34)
Le sanctuaire caché (p. 66-68)
Le sanctuaire caché (p. 156-158)
La seconde expédition au pied de la Nanda Devi (p. 275-276)