Seule sur le Transsibérien, Mille et une vies de Moscou à Vladivostok
Géraldine Dunbar
C’est par le légendaire Transsibérien que Géraldine Dunbar a choisi de renouer avec la Russie. Dans les gares où elle fait étape et lors de ses échappées dans la steppe ou la taïga, la voyageuse croise des gens d’horizons divers – cheminots, étudiants, militaires, chasseurs, pêcheurs, anciens déportés ou nouveaux riches –, tous réunis dans la vie du train, dont elle emprunte les trois classes. Après 10 000 kilomètres de l’Oural à l’Amour en passant par les rives du lac Baïkal, l’auteur atteint l’océan Pacifique. Quatre mois d’enchantement, à goûter les zakouskis et le charme des conversations, à contempler l’infini des paysages, à visiter les villes de Sibérie et à vivre sous le regard attentionné des chefs de wagon pour, enfin, faire siens les mots de Tolstoï : ? Est seul vivant celui qui aime. »