Sans trace humaine :
« Là est ce qui me séduit dans l’abord en solitaire de régions et de pays différents. Je ne marche pas devant quelqu’un, auquel cas je me sentirais pressé ; ni derrière, auquel cas je me sentirais confiné. À mon rythme, je fraie ma voie. En réalité, je marche au-devant. Au-devant de nouvelles émotions, de nouvelles rencontres. Par ma seule volonté, je renouvelle à chaque instant la découverte et son plaisir. Mon apprentissage est autodidacte, le succès et l’échec ne reposent que sur moi. Dans ma tente ce soir, je sais combien le succès ou l’échec sont – plus que jamais auparavant – de mon seul ressort, que le vent qui tombe n’est pas décisif, que la distance et les embûches ne sont pas décisives, que la faim elle-même n’est pas décisive. Tout est en moi, et devant moi sur cette ligne que je trace depuis Barrow ; personne d’autre ne détient la clé de ma réussite. »
Dans la splendeur de la chaîne de Brooks (p. 83-87)
L’Indienne aux yeux pers (p. 181-186)
L’Aniakchak (p. 352-355)
« Là est ce qui me séduit dans l’abord en solitaire de régions et de pays différents. Je ne marche pas devant quelqu’un, auquel cas je me sentirais pressé ; ni derrière, auquel cas je me sentirais confiné. À mon rythme, je fraie ma voie. En réalité, je marche au-devant. Au-devant de nouvelles émotions, de nouvelles rencontres. Par ma seule volonté, je renouvelle à chaque instant la découverte et son plaisir. Mon apprentissage est autodidacte, le succès et l’échec ne reposent que sur moi. Dans ma tente ce soir, je sais combien le succès ou l’échec sont – plus que jamais auparavant – de mon seul ressort, que le vent qui tombe n’est pas décisif, que la distance et les embûches ne sont pas décisives, que la faim elle-même n’est pas décisive. Tout est en moi, et devant moi sur cette ligne que je trace depuis Barrow ; personne d’autre ne détient la clé de ma réussite. »
(p. 66)
Dans la splendeur de la chaîne de Brooks (p. 83-87)
L’Indienne aux yeux pers (p. 181-186)
L’Aniakchak (p. 352-355)