Dépression du ciel et de l’âme :
« Je regarde encore vers l’ouest, vers cette partie de l’archipel si peu visitée, si austère, tellement complexe. Ma poitrine se gonfle, mon cœur exulte. Je désire cette terre de toute mon âme. Elle me ressemble, elle est mienne, je veux tout savoir d’elle et lui consacrer ma vie. Oui, malgré sa démesure, ses caprices, ses violences et sa désolation, j’aime puissamment cet univers. Seul face à l’immensité minérale, j’ai envie de m’envoler tel un albatros pour embrasser ce dédale marin avec mon être tout entier ; je veux m’unir définitivement à chacune des montagnes et chacune des vallées. »
Premières joies, premiers doutes (p. 34-35)
Sous les falaises de l’Ouest (p. 95-97)
Le retour des animaux (p. 237-239)
« Je regarde encore vers l’ouest, vers cette partie de l’archipel si peu visitée, si austère, tellement complexe. Ma poitrine se gonfle, mon cœur exulte. Je désire cette terre de toute mon âme. Elle me ressemble, elle est mienne, je veux tout savoir d’elle et lui consacrer ma vie. Oui, malgré sa démesure, ses caprices, ses violences et sa désolation, j’aime puissamment cet univers. Seul face à l’immensité minérale, j’ai envie de m’envoler tel un albatros pour embrasser ce dédale marin avec mon être tout entier ; je veux m’unir définitivement à chacune des montagnes et chacune des vallées. »
(p. 70)
Premières joies, premiers doutes (p. 34-35)
Sous les falaises de l’Ouest (p. 95-97)
Le retour des animaux (p. 237-239)