État d’esprit de l’équipe :
« Pendant trois ans, les coéquipiers de Solidream ont tout partagé. Les bivouacs sous leur tente bien sûr, qu’ils fussent dans les sables du Sahara occidental, dans la jungle d’Amazonie ou bien dans la toundra infestée de moustiques de l’Arctique américain, ou enfin dans la neige des hauts cols du Tibet historique. Et pour se supporter, ils ont adopté la douche obligatoire tous les soirs, dans les eaux bruissantes de la cordillère des Andes ou calmes du Mékong, ou au modeste robinet d’une station-service. Pendant trois ans aussi, ils ont fait caisse commune avec l’argent économisé lors des deux années de préparation de leur projet. Pendant trois ans enfin, immergés dans leur voyage, ils ne sont pas rentrés, allant jusqu’à passer un Noël à Ushuaia, un autre au Mexique et le troisième à Bangkok. »
Morgan, le rêveur confiant (p. 27)
Brian, le penseur distrait (p. 73)
Siphay, l’optimiste original (p. 177)
« Pendant trois ans, les coéquipiers de Solidream ont tout partagé. Les bivouacs sous leur tente bien sûr, qu’ils fussent dans les sables du Sahara occidental, dans la jungle d’Amazonie ou bien dans la toundra infestée de moustiques de l’Arctique américain, ou enfin dans la neige des hauts cols du Tibet historique. Et pour se supporter, ils ont adopté la douche obligatoire tous les soirs, dans les eaux bruissantes de la cordillère des Andes ou calmes du Mékong, ou au modeste robinet d’une station-service. Pendant trois ans aussi, ils ont fait caisse commune avec l’argent économisé lors des deux années de préparation de leur projet. Pendant trois ans enfin, immergés dans leur voyage, ils ne sont pas rentrés, allant jusqu’à passer un Noël à Ushuaia, un autre au Mexique et le troisième à Bangkok. »
(p. 3)
Morgan, le rêveur confiant (p. 27)
Brian, le penseur distrait (p. 73)
Siphay, l’optimiste original (p. 177)