![<i>Kansha</i>, la reconnaissance.<br>Le calligraphe emploie ici une transcription phonétique : <i>ka</i> est retranscrit par l’idéogramme qui signifie « biche », et <i>n</i> est en hiragana. <i>Shi</i> signifie « arrêter », et <i>ya</i> est le caractère qui signifie « flèche ». Le <i>shi</i> associé au <i>ya</i> se prononce <i>sha</i>, d’où le mot <i>kansha</i>.](images/galeries/petitesgaleries/routeduthe/routeduthe3.jpg)
Kansha, la reconnaissance.
Le calligraphe emploie ici une transcription phonétique : ka est retranscrit par l’idéogramme qui signifie « biche », et n est en hiragana. Shi signifie « arrêter », et ya est le caractère qui signifie « flèche ». Le shi associé au ya se prononce sha, d’où le mot kansha.
Images de James Harvey, extraites du récit de voyage contemporain Souffleur de bambou (Le), Rencontres japonaises