La relative douceur du climat s’explique surtout par les courants tempérés de la dérive nord-atlantique qui viennent lécher la côte ouest du Spitzberg, puis repoussent la banquise polaire au-delà de 80° nord.
Images de Emmanuel Hussenet, extraites du récit de voyage contemporain Maelström, Seul aux confins du Spitzberg