À l’aube, des marchands caravaniers venus de Faizabad, la capitale régionale du Badakhshan dont dépend le Wakhan, bâtent leurs chevaux avec du blé, du thé et des tissus qu’ils s’en vont vendre ou troquer dans les autres campements kirghizes. Dans leurs bagages, peut-être également de cet opium qui fait des ravages dans le Pamir, qu’en l’absence de médicament les Kirghizes utilisent comme antalgique avant d’en devenir parfois dépendants.
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