« “Je ne peux pas dormir, je ne peux pas fermer les yeux. — Viens ici, dit Aniwiak.” En effet, on s’aperçut qu’elle ne pouvait plus fermer les yeux tant elle avait bâillé. Son père tailla alors deux petits morceaux de bois pour les appuyer sur ses paupières fermées. Et ainsi, elle put s’endormir. »
Images de Matthieu Raffard & Stéphane Victor, extraites de l’ouvrage Pouyak, La petite fille eskimo qui jouait à la poupée tout le temps