Alors même qu’il y a quelque quatre-vingts cordons de dunes à franchir, il faut parfois faire la trace pour aider le passage des animaux chargés, éviter la bascule des bâts dans les précipices ensablés. Une mère et ses enfants atteignent ainsi un espace interdunaire pour la nuit.
Images de Jean-Pierre Valentin, extraites de l’ouvrage Ténéré, Avec les caravaniers du Niger