Collection « Sillages »

  • Treks au Népal
  • La 2CV vagabonde
  • Ísland
  • Habiter l’Antarctique
  • Cavalières
  • Damien autour du monde
  • À l’ombre de l’Ararat
  • Moi, Naraa, femme de Mongolie
  • Carpates
  • Âme du Gange (L’)
  • Pèlerin de Shikoku (Le)
  • Ivre de steppes
  • Tu seras un homme
  • Arctic Dream
  • Road Angels
  • L’ours est mon maître
  • Sous les yourtes de Mongolie
  • Cavalier des steppes
  • Odyssée amérindienne (L’)
  • Routes de la foi (Les)
  • Aborigènes
  • Diagonale eurasienne
  • Brasil
  • Route du thé (La)
  • Dans les pas de l’Ours
  • Kamtchatka
  • Coureur des bois
  • Aux quatre vents de la Patagonie
  • Siberia
  • Sur la route again
  • À l’écoute de l’Inde
  • Seule sur le Transsibérien
  • Rivages de l’Est
  • Solitudes australes
  • Espíritu Pampa
  • À l’auberge de l’Orient
  • Sans escale
  • Au pays des hommes-fleurs
  • Voyage au bout de la soif
  • Errance amérindienne
  • Sibériennes
  • Unghalak
  • Nomade du Grand Nord
  • Sous l’aile du Grand Corbeau
  • Au cœur de l’Inde
  • Pèlerin d’Orient
  • Pèlerin d’Occident
  • Souffleur de bambou (Le)
  • Au vent des Kerguelen
  • Volta (La)
  • Par les sentiers de la soie
  • Atalaya
  • Voie des glaces (La)
  • Grand Hiver (Le)
  • Maelström
  • Au gré du Yukon
Couverture

Openjack, www.amazon.fr, le 30 mai 2015 :
« Comment survivre quand tout ce (ceux) en quoi vous avez cru, s’effondre autour de vous ?
Un récit qui vous entraîne aux confins de la Russie, puis au Japon et en Corée et enfin bouclé aux
States
Mais ne part-on pas avec son
“monkey on the back”, la fuite permet-elle de se reconstruire ? »

Pascal Girardin, Moto Magazine n° 300, septembre 2013 :
« Deux cents jours, 36 000 kilomètres… Une sacrée balade qu’a effectuée Éric Lobo sur une Harley Road King bien chargée. Avec un tel plomb, le facile eût été de consulter les cartes et d’emprunter les grandes routes… Mais non. Éric part vers Vladivostok, traversant l’Ukraine et la Sibérie, après une préparation sommaire, sans carte ni autorisation, avec (relativement) peu d’argent, se fiant aux indications des bikers(euses) rencontrés au hasard. La Road King servant de sésame, il en raconte des verts, des bien mûrs et des sauvages à faire fuir. Cependant, la plupart l’aident à réparer sa moto, l’hébergent, l’accompagnent, l’invitent à des festivals déjantés. Cette traversée épique de l’Eurasie est vraiment la partie la plus fascinante de cet hymne à l’aventure qui se termine… à Miami, en Floride ! »

Nathalie Kermovant, Le Télégramme n° 808, le 4 août 2013 :
« Photoreporter par passion, Éric Lobo travaille dans l’immobilier d‘entreprise. Lorsque l’univers de la finance vacille, son monde s’écroule : il perd son emploi, son train de vie. Sa femme le quitte, sa mère meurt. Ayant tout perdu, ce quadra au caractère bien trempé cherche le chemin de la résilience et taille alors la route, sur une Road King Police, la plus imposante des Harley Davidson. Lourde, inadaptée aux terrains difficiles, la moto permet de voyager à l’ancienne, attire curiosité et sympathie. Roulant vers l’est, sans carte ni GPS, il veut s’obliger à aller vers les gens. Et il va en rencontrer, la majorité du temps motards, au look et à la conduite plus que déglingués, comme ces bikers de Sibérie sortis de Mad Max. Mais tous ces anges de la route le protégeront, l’aideront, lui feront goûter l’intensité de la vie. Avec eux, il se déconstruira, pour mieux se reconstruire. »

Marcopolo85, www.babelio.fr, le 16 juillet 2013 :
« Tracer la route pour réparer les bobos de la vie, telle est la devise d’Éric Lobo. En effet, cet ancien pro de l’immobilier lâche tout en 2008 suite à la débâcle boursière et une situation familiale critique pour filer de par le monde le temps de quelques mois. Et c’est à moto qu’il part, et pas avec n’importe laquelle : la Road King de Harley Davidson, celle utilisée par la Police US. Cet engin est fait pour bouffer de l’asphalte.
Chevauchant son engin, Lobo prend la direction de l’est : Suisse, Autriche, Slovaquie, Ukraine. Il entre en Russie sans autorisation ni assurance. Mais, c’est quand même là que Lobo vit sa grande aventure. D’abord, les routes de Sibérie ne sont pas franchement proprettes au vu des nombreux nids-de-poule et des chauffards se croyant sur des circuits de Formule 1. Il évite de justesse deux camions venant de face, il rentre dans une voiture en plein milieu de la route, et c’est la tôle. Il est bloqué en pleine Sibérie pour réparer la Road King. Ses craintes de vol, sa peur de la mafia sont vite effacées devant des putains de Russes extraordinaires de chaleur, de sympathie et d’aide. Lobo a trouvé des frères chez les
bikers sibériens qu’il ne retrouvera pas dans la suite de son trajet le menant en Corée, au Japon, au Canada et aux États-Unis.
Il boucle son tour du monde apaisé et plein de foi en la vie. »

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