Collection « Petite philosophie du voyage »

  • Défis de la course (Les)
  • Écho des bistrots (L’)
  • Quête du naturaliste (La)
  • Instinct de la glisse (L’)
  • Vertiges de la forêt (Les)
  • Voyage en famille (Le)
  • Tao du vélo (Le)
  • Parfum des îles (Le)
  • Appel de la route (L’)
  • Bonheurs de l’aquarelle (Les)
  • Euphorie des cimes (L’)
  • Malices du fil (Les)
  • Ivresse de la marche (L’)
  • Force du silence (La)
  • Secret des pierres (Le)
  • Frénésie du windsurf (La)
  • Prouesses de l’apnée (Les)
  • Vie en cabane (La)
  • Fureur de survivre (La)
  • Art de la trace (L’)
  • Voyage dans l’espace (Le)
  • Ronde des phares (La)
  • Frisson de la moto (Le)
  • Légèreté du parapente (La)
  • Poésie du rail (La)
  • Hymne aux oiseaux (L’)
  • L’Engagement humanitaire
  • Grâce de l’escalade (La)
  • Temps du voyage (Le)
  • Vertu des steppes (La)
  • Facéties du stop (Les)
  • Cantique de l’ours (Le)
  • Esprit du geste (L’)
  • Écriture de l’ailleurs (L’)
  • Rythme de l’âne (Le)
  • Chant des voiles (Le)
  • Liberté du centaure (La)
  • Tour du monde (Le)
  • Fièvre des volcans (La)
  • Extase du plongeur (L’)
  • Tentation du jardin (La)
  • Vie à la campagne (La)
  • Murmure des dunes (Le)
  • Goût de la politesse (Le)
  • Caresse de l’onde (La)
  • Magie des grimoires (La)
  • Audaces du tango (Les)
  • Simplicité du kayak (La)
  • Voyage immobile (Le)
  • Attrait des gouffres (L’)
  • Soif d’images (La)
  • Mémoire de la Terre (La)
  • Enchantement de la rivière (L’)
  • Prodige de l’amitié (Le)
  • Promesse de l’envol (La)
  • Mystères du vin (Les)
  • Religion du jazz (La)
  • Charme des musées (Le)
  • Triomphe du saltimbanque (Le)
  • Sortilèges de l’opéra (Les)
  • Âme de la chanson (L’)
  • Sérénité de l’éveil (La)
  • Arcanes du métro (Les)
Couverture

Louis de Bazelaire, www.amazon.fr, le 22 avril 2016 :
« Ce petit livre sans prétention réfléchit sur ce que suppose et entraîne la pratique du canoë. Flotter lentement au fil de l’eau n’est pas un acte anodin ou neutre. Découvrir la nature ou une ville par voie d’eau non plus. Ce livre propose une réflexion simple, abordable par tous, à la limite de la phénoménologie. Un livre vraiment original qui plaira à tous ceux qui pratiquent le canotage. »

Un internaute, www.amazon.fr, le 12 février 2011 :
« Ce petit livre se lit avec grand plaisir. Style fluide et agréable, retour vers le passé pour connaître l’origine du canoë. Tout est mis en œuvre pour vous donner envie de partager la passion de l’auteur. À lire absolument ! »

Un internaute, www.priceminister.com, le 10 septembre 2009 :
« Même si le canoë ne vous intéresse pas, ce petit livre pourrait vous faire changer d’avis. Très bien écrit par un spécialiste, c’est vraiment un bonheur à lire. Le sujet reste passionnant tout au long du livre et nous fait découvrir toutes les facettes de cette pratique. »

Un internaute, www.eauxvives.org, le 31 août 2009 :
« Je voudrais tout d’abord vous signaler que je suis honteusement sponsorisé par la librairie Le Canotier. En effet, il y a bien cinq ans de cela, Patrice de Ravel m’a fait cadeau de deux-trois autocollants qui traînaient au fond de sa boutique ; du coup, évidemment, cela jette un doute sur l’impartialité de ma critique.
Voilà, j’ai donc reçu la dernière production livresque de notre ami Patrice, intitulée
La Caresse de l’onde. Celui qui, d’habitude, publie ou revend les meilleurs livres de canoë-kayak a décidé de prendre la plume pour nous livrer sa propre “Petite philosophie du voyage”.
D’abord, première surprise, ce petit livre est très beau, fait d’un papier grammé agréable au toucher. Ensuite, sa lecture est un bonheur. On le sait, Patrice aime autant la belle langue que les beaux canoës en bois, ce qui donne lieu à quelques découvertes intéressantes : je n’étais personnellement aucunement familier de l’apocope, qui n’est pas, comme on pourrait le penser, un outil servant à enlever l’eau au fond du bateau…, aussi vous laisserai-je découvrir les autres.
Une phrase résume à mon avis l’ambition de ce livre, commune à tous ceux qui écrivent sur notre activité. Il s’agit de “flâner un peu en regardant pourquoi un bateau si rudimentaire réussit à occuper autant de temps dans la vie d’autant de gens et, assez souvent, à leur procurer autant de satisfactions”. C’est joli non ? Gageons que nombreux parmi nous se reconnaîtront comme faisant partie de ces “gens”. »


Johanna Nobili, Carnets d’aventures n° 16, juin-août 2009 :
« C’est à l’adolescence que Patrice de Ravel a découvert le canoë en même temps que l’accès qu’il offre à une nouvelle dimension : “Au-delà du solide et du liquide, je trouvai un autre monde […] mouvant et fluide. Je venais d’entrer ailleurs.” Les possibilités multiples de découverte et de voyage qui en découlaient sont apparues petit à petit aux yeux de l’auteur qui a appris à aimer cette embarcation, son moyen de propulsion (la pagaie simple) et les techniques pour la manier, à la fois simples, épurées et ancestrales, qui évoquent quasi systématiquement les territoires sauvages du Canada, les grandes rivières qui les parcourent et les peuples premiers qui y vivent et s’y déplacent. Patrice de Ravel, fondateur de la maison d’édition et librairie spécialisées dans le canoë et le kayak, Le canotier (www.canotier.com), transmet dans cet essai passionné son affection pour cet outil légendaire de voyage, ce “tapis volant” des cours d’eau. »

Déborah Damblon, En marche n° 1410, le 4 juin 2009 :
« “Est-il encore concevable de partir en voyage depuis chez soi, sans le moindre billet d’avion en poche ? Sans autre ambition que d’expérimenter un rythme de vie nouveau et de découvrir sous un nouvel angle des lieux que l’on croyait connaître ?” Patrice de Ravel l’expérimente, à bord de son canoë-kayak, et il en parle en spécialiste avec l’assurance, la technique et la douceur qui caractérise l’entrée de la rame dans l’eau. Son embarcation a glissé sur bon nombre de rivières françaises et européennes. Depuis ce silencieux et discret mode de déplacement, les paysages s’offrent au pagayeur sous un autre jour. Du milieu d’un lac ou d’une rivière, du fond d’une vallée ou au cœur d’une ville, la perspective est particulière. Quand il dit sa pratique du canoë, il surprend souvent ses interlocuteurs qui le pensent alors grand connaisseur des cours d’eau canadiens. Pourtant, c’est bien ici qu’il flotte. La Caresse de l’onde compte parmi une douzaine d’ouvrages tout minces, à glisser dans sa poche, de la collection “Petite philosophie du voyage” éditée par Transboréal, “La maison d’édition des voyageurs au long cours”. »

Ivan Roullet, journaliste, le 14 juin 2009 :
« Vous me fîtes douter à la lecture de votre ouvrage si bien écrit. Diantre ! M’aurait-il donné envie de voguer au fil de l’eau, le bougre ? Replongé dans mes récits de jeunesse qui m’emportaient dans l’univers d’un Jules Verne ou d’un Livingstone, je vous ai suivi, ou plutôt vous m’emportâtes dans cet ouvrage qui court l’onde sans haine ni violence. Je l’avais déjà adopté à la vue de sa couverture : une belle invitation à poursuivre la découverte. J’ai imaginé au fil des métaphores, des descriptions, des observations, mon voyage au fil des eaux… Sous les frondaisons chères à un artiste tourangeau, la sérénité retrouvée c’est la communion avec la nature, dans le silence d’une glisse ponctuée de chants d’oiseaux ou de bourdonnements de quelque insecte piqueur.
Je suis arrivé à la conclusion de cette lecture que l’optimisme n’est pas mort et que, sur terre comme sur l’eau, il faut écrire ton nom : “liberté”. »

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