Collection « Petite philosophie du voyage »

  • Défis de la course (Les)
  • Écho des bistrots (L’)
  • Quête du naturaliste (La)
  • Instinct de la glisse (L’)
  • Vertiges de la forêt (Les)
  • Voyage en famille (Le)
  • Tao du vélo (Le)
  • Parfum des îles (Le)
  • Appel de la route (L’)
  • Bonheurs de l’aquarelle (Les)
  • Euphorie des cimes (L’)
  • Malices du fil (Les)
  • Ivresse de la marche (L’)
  • Force du silence (La)
  • Secret des pierres (Le)
  • Frénésie du windsurf (La)
  • Prouesses de l’apnée (Les)
  • Vie en cabane (La)
  • Fureur de survivre (La)
  • Art de la trace (L’)
  • Voyage dans l’espace (Le)
  • Ronde des phares (La)
  • Frisson de la moto (Le)
  • Légèreté du parapente (La)
  • Poésie du rail (La)
  • Hymne aux oiseaux (L’)
  • L’Engagement humanitaire
  • Grâce de l’escalade (La)
  • Temps du voyage (Le)
  • Vertu des steppes (La)
  • Facéties du stop (Les)
  • Cantique de l’ours (Le)
  • Esprit du geste (L’)
  • Écriture de l’ailleurs (L’)
  • Rythme de l’âne (Le)
  • Chant des voiles (Le)
  • Liberté du centaure (La)
  • Tour du monde (Le)
  • Fièvre des volcans (La)
  • Extase du plongeur (L’)
  • Tentation du jardin (La)
  • Vie à la campagne (La)
  • Murmure des dunes (Le)
  • Goût de la politesse (Le)
  • Caresse de l’onde (La)
  • Magie des grimoires (La)
  • Audaces du tango (Les)
  • Simplicité du kayak (La)
  • Voyage immobile (Le)
  • Attrait des gouffres (L’)
  • Soif d’images (La)
  • Mémoire de la Terre (La)
  • Enchantement de la rivière (L’)
  • Prodige de l’amitié (Le)
  • Promesse de l’envol (La)
  • Mystères du vin (Les)
  • Religion du jazz (La)
  • Charme des musées (Le)
  • Triomphe du saltimbanque (Le)
  • Sortilèges de l’opéra (Les)
  • Âme de la chanson (L’)
  • Sérénité de l’éveil (La)
  • Arcanes du métro (Les)
Couverture
Une manière plutôt qu’un but :

« Il y a près d’un siècle, les Genevois pratiquaient la varappe au Salève, les Chamoniards commençaient à grimper sur des parois au fond de leur vallée, les Parisiens s’escrimaient sur leurs premiers rochers en forêt de Fontainebleau. L’escalade sur blocs et falaises existait déjà mais constituait un entraînement pour des ascensions plus ambitieuses. Elle n’était, pour les alpinistes une fois en montagne, qu’une technique en vue de l’exploration de nouveaux territoires. La fin de la grande époque de l’alpinisme a coïncidé avec le début de l’histoire de l’escalade moderne. Il a fallu attendre que tous les sommets et grandes parois de nos contrées soient gravis au cours de la seconde moitié du XXe siècle pour que, perdant sa fonction principale et devenant “inutile”, l’escalade soit considérée pour elle-même. Il est déjà difficile de comprendre pourquoi certains risquent leur vie pour gravir des montagnes, mais s’il n’y a même plus l’attrait de la cime – finalement assez naturel –, que lui reste-t-il ? Edlinger nous a montré la voie. Les grimpeurs modernes ne vont nulle part, c’est dans la manière d’arriver en haut que se trouve la clé. »
(p. 14-15)

L’escalade, pour elle-même (p. 11-13)
L’infinie variété des roches (p. 30-33)
Le meilleur grimpeur du monde (p. 87-89)
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